OMNISPORT Un duo homme - femme pour porter le drapeau Les chiffres
Manchester United reçoit ce soir Grenade, qu’il avait battu - à l’aller, avec déjà un pied et demi en demifinales, au contraire d’Arsenal, qui sera en grand danger à Prague face au Slavia après un nul - à l’aller. Les Gunners n’ont quasiment plus aucune chance de se qualifier pour une place européenne via la Premier League, oùeils n’occupent que la place à neuf longueurs du cinquième Chelsea. La Ligue Europa est donc leur dernier espoir. L’AS Rome partira favori au Stadio Olimpico face à l’Ajax Amsterdam, piégé par les Giallorossi à l’aller à l’Arena Johan-Cruyff (-). Enfin, Villarreal aura les faveurs des pronostics après s’être imposé - à l’aller face au Dinamo Zagreb.
Le programme (h) Manchester Utd - Grenade
Slavia Prague - Arsenal
AS Rome - Ajax Amsterdam
Villareal - Dinamo Zagreb
Parité pour les futurs porte-drapeaux de l’équipe de France olympique et paralympique : pour la première fois de l’histoire, un homme et une femme seront désignés d’ici l’été pour porter le drapeau de la France à la cérémonie d’ouverture des JO de Tokyo, et plusieurs grands sportifs se sont portés candidats comme la judoka Clarisse Agbegnenou ou le nageur Florent Manaudou.
Hier, à désormais100 jours de la compétition sur laquelle s’alourdissent les inquiétudes sanitaires, les 19 candidats et candidates pour porter le drapeau tricolore aux Jeux olympiques et paralympiques ont été rendus public à l’occasion d’une visioconférence de presse (voir ci-dessous). Comme pressenti, la France s’est convertie à la possibilité ouverte par le CIO en mars 2020 d’un binôme porte-drapeaux lors de la cérémonie d’ouverture des JO d’été. C’est donc un duo qui succédera à Teddy Riner qui avait officié aux JO de Rio en 2016. Il sera désigné par des « ambassadeurs » de chaque fédération via un système de points.
Par ailleurs, l’équipe de France est rebaptisée « équipe de France unie » entre olympique et paralympique. (Photos AFP) « C’est un moment clé dans l’histoire du sport français », s’est réjoui Tony Estanguet, le patron du comité d’organisation des JO Paris 2024. « Tout le monde nous dit que ça va être des Jeux au rabais », a expliqué Claude Onesta, directeur du haut niveau de l’Agence nationale du sport (ANS). Mais, « plus le contexte est inhabituel,
Dans l’histoire des Jeux d’été, la France n’a connu que trois porte-drapeau féminins : Christine Caron (), Marie-José Pérec () et Laura Flessel ().
Les primes réservées aux médaillés ont été revalorisées : ce sera désormais euros pour l’or (au lieu de ), pour l’argent et enfin euros pour le bronze.
plus cela ouvre le champ ». Chef de mission de la délégation française, Michel Vion, a donné le chiffre « d’une quarantaine de médailles » comme objectif à Tokyo. Les sportifs français avaient rapporté 42 médailles du Brésil.