TARBES - NICE : -

A Tarbes, Nice bat Tarbes 19 à 6 (6-6).

1 500 spectateurs environ. Arbitre : M. Alejo (Nouvelle Aquitaine).

Évolution du score : 3-0, 33, 3-6, 6-6 ; 6-13, 6-16, 6-19. Pour Tarbes : 2 pénalités, Lhusero (4, 28).

Pour Nice : 1 essai, Martin (46) ; 4 pénalités, Ormaechea (12, 14, 52), Jones (72) et 1 transformation, Ormaechea (46).

Carton jaune : Oltmann (45) à Tarbes.

TARBES : Berbizier (Dumestre, 50) ; Rubio, Stanaway (Mamao, 50), Paulet, Oltmann ; (o) Pees (Millet, 62), (m) Lhusero ; Sajous, Manu, Real (Parrou, 60 ; puis Maximin, 70) ; Maximin (Meron, 52), Maninoa ; Aulika (Duny, 60), Mondon (cap) (Lamothe, 60), Combier (Bessonart, 52).

Entr. : S. Ducos, F. Fortassin. NICE : Slowik ; Bureitakiyaca, Mosses, Fritz (Delage, 28), Alessi ; (o) Ricquebourg (Jones, 56), (m) Ormaechea (Bessaguet, 62) ; Tachat (cap.), Bolenaivalu, Mace (puis Fontaine, 80+5) ; Fontaine (Koroi, 59), Rey ; Negrotto (Shatirishvili, 40), Martin (Melot, 80), Lemaire (Vola, 40).

Entr. : D. Bolgashvili, Y. Osmond.

Les Niçois tout en puissance.

En quête d’un premier succès à l’extérieur, Nicolas Tachat et les siens n’ont pas laissé passer l’occasion d’affirmer leurs prétentions chez des Tarbais, pourtant invaincus chez eux, grâce, notamment, à une solidité défensive à toute épreuve conjuguée à un pragmatisme offensif de bon aloi. Pourtant, le Stado entrait de bonne manière dans le match quand, mis à la faute, les Niçois

offraient la première pénalité à Lhusero (3-0, 4’). Des visiteurs mis sur le reculoir par la mêlée tarbaise mais qui, déjà, s’arc-boutaient en défense pour repousser les assauts des locaux et faire avorter le premier mouvement d’envergure avec Stanaway au large repris pas Alessi (9’). Le ton était donné, Nice n’allait rien lâcher et exploitait même au mieux les fautes tarbaises par Ormaechea,

(Photo archives E. O.)

La seconde période débutait sur le même rythme. Nice en profitait pour creuser l’écart (15-21, 36’). Djazz Chambertin marquait les esprits après un superbe but et confirmait ainsi l’avance de son équipe (20-25, 45’). Alors que l’écart continuait de se creuser (2128, 54’), les joueuses de Stéphane Pellan semblaient im- puissantes face à cette ar