“J’AI AUJOURD’HUI DE NOMBREUSES CASQUETTES”

Ayant à l’origine des a priori négatifs vis-à-vis de la vente à domicile, Pauline Taillepied a dépassé ses préjugés et est vendeuse pour la société Secrets de miel depuis 9 ans. "Je suis tombée amoureuse des produits", déclare-t-elle. Une passion qu’elle a partagée avec les personnes de sa région puis à travers les réseaux sociaux, organisant des réunions de manière régulière, s’informant sur Internet des bienfaits du miel... Une persévérance qui a payé : Pauline Taillepied a dû créer sa société, les plafonds du statut de vendeur à domicile indépendant (VDI) ayant été largement atteints. "J’ai aujourd’hui de nombreuses casquettes : en plus de la vente, j’accompagne mes filleules afin qu’elles atteignent elles aussi leurs objectifs", explique-t-elle. Pour Pauline Taillepied, le rôle d’une marraine est primordial dans la vente à domicile, pour rassurer. "Au départ, il est normal d’avoir peur de solliciter ses proches, la marraine aide à supprimer cette barrière", penset-elle. Elle invite également les nouveaux vendeurs à demander à l’entreprise avec laquelle ils collaborent des séances de formation, notamment pour apprendre à développer leur réseau. convenaient puisqu’il s’agissait de valider 1 000 euros de vente le premier mois pour se voir offrir un pack et encore 1 000 euros le deuxième mois pour obtenir un pack plus conséquent ", rapporte-t-elle, soulignant qu’une réunion lui permettait de vendre pour 500 euros de produits lorsqu’elle s’est lancée (elle atteint aujourd’hui entre 700 et 1 000 euros par réunion). "Chez H2O, nous avons également le droit à un mois joker, lors duquel nous ne réalisons aucune vente, pour pouvoir partir en vacances par exemple", ajoute-t-elle.

Au-delà de ces questions sur les conditions d’exercice, il s’agit aussi de s’assurer de la viabilité de l’entreprise avec laquelle on compte collaborer et se renseigner sur son chiffre d’affaires, sa croissance mais aussi sur les revenus moyens