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Les plus d'un accompagne­ment profession­nel

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Lors de cette phase de réflexion, il peut ut être judicieux de se faire accompagne­r er par un profession­nel. “Le fait d’êtrere accompagné permet de se poser leses bonnes questions, dans le bon ordre et d’avoir les bons outils pour y répondre.re. Un profession­nel permet de prendrere de la hauteur, de lever la tête du guidon”, estime Schanyny Taix, délégué général de la Fédération nationale des CIBCC (Centres interinsti­tutionnels de bilan de compétence­s). Et cela n’est pas forcément coûteux ! Le conseil en évolu-ution profession­nelle (CEP), par exemple, est un dispositif­f gratuit. “Cela permet de faire un point sur sa situation n profession­nelle, d’analyser ses motivation­s, aspiration­s… … Les personnes sont ensuite accompagné­es pour identifier er les métiers qui correspond­ent à leur projet, ainsi que les es formations et financemen­ts adaptés”, décrit Stéphanene Maas, directeur de Transition­s Pro Île-de-France. Karinene Meininger met quant à elle en avant Activ’projet qui per-rmet aux demandeurs d’emploi de travailler avec un expertrt de la reconversi­on profession­nelle sur les pistes envisagées,es, ses compétence­s, etc… “Cela permet d’identifier les com-mpétences acquises, celles transférab­les sur un autre métierer et celles qu’il reste à développer. Activ’projet dure entre 8 et 12 semaines et les bénéficiai­res en ressortent avec un planan d’action, une feuille de route pour la suite”, précise Karinene Meininger. Un bilan de compétence­s ou des séances de coaching peuvent ensuite permettre d’approfondi­r le questionne­ment profession­nel. Ces deux options sontnt finançable­s en activant son CPF (Compte personnel de formation) mais demandent un véritable engagement. “Il faut être conscient qu’un bilan de compétence­s ne permet et

pas de dire aux p personnes ce pour quoi elles sont faites. Elles doivent être à l’écoute de ce qui se dégage des séances et avoir pour cela du temps à consacrer à la réflexion”,

avertit Schany Taix. Tai

Faire appel à un profession­nel p permet aussi de redonner confiance en soi. “Lors “L de reconversi­ons forcées, tout s’écroule autour des personnes person qui peuvent ne pas avoir envie d’apprendre un no nouveau métier. Il faut aller à l’encontre de cet état d’esprit en valorisant les compétence­s transverse­s qu’elles ont acquises acquise et questionne­r leurs envies pour le futur. Pour réussir une reconversi­on, re il est fondamenta­l de ne pas subir mais de se mettre m dans une dynamique d’évolution”,

souligne Rémi Bordet, Bor directeur des relations institutio­nnelles de l’Afpa. C’e C’est pour accompagne­r ces personnes que l’organisme de formation form a mis sur pied le dispositif Prépa Compétence­s qui consiste c à aider des personnes envoyées par Pôle emploi à préparer leur projet profession­nel. “Nous travaill travaillon­s sur la pertinence de leur projet, nous le validons à travers des stages en entreprise­s ou des immersions imm sur des plateaux techniques au sein des formations”, décrit Alexis Frechin, fo formateur au sein du dispositif Prépa Com

pétences de l’Afpa.

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