SEYVAL, VIDAL, FRONTENAC ET SAINT-PÉPIN
Températures glaciales en hiver obligent, les cépages québécois ne peuvent pas être tout à fait les mêmes qu'en France. Arrivé de sa Champagne natale au début des années 1980, Jean-Paul Scieur (Le Cep d’Argent, ci-dessus) a choisi le seyval pour élaborer le premier mousseux en méthode traditionnelle du Québec. Avec dégorgement à la volée, s'il vous plaît ! Au vignoble Coteau Rougemont, Patrick Fournier s'est également formé en France avant de revenir vinifier les raisins canadiens. Pour un palais français, sa cuvée Saint-Pépin (ci-dessous, à droite), du nom du cépage blanc éponyme, fait irrésistiblement penser à… un vin de la vallée du Rhône !