Moby
un motif de slide tranchant, avant que l’affaire ne prenne son envol avec “Dead Soul Scroll” puis “Awake”, dotée d’un éblouissant solo, nimbé de wah-wah. Après la saignante “Drowning On Empty” vient l’atmosphérique “Slide Mountain”. Une rampe de lancement idéale pour les neuf minutes de “Black Owl”, épopée planante qui conclut parfaitement ce disque solide qui devrait couronner Geezer comme une valeur refuge dans un créneau où la concurrence est on ne peut plus rude.
JONATHAN WITT