De sa beauté, ils ont fait des poèmes…
Marie Stuart est une sorte d’égérie pour la nouvelle génération de poètes du xvie siècle. Tous célèbrent son extrême beauté. Ainsi, Joachim du Bellay la compare à Vénus. Pierre de Ronsard, qui l’a connue enfant, loue ses « yeux étoilés », son « front d’albâtre » et « l’or » de ses cheveux. Quant à Brantôme, il devient son chroniqueur attitré et la suit dans tous ses déplacements, jusqu’en Écosse. Il l’appelle « la déesse véritable » !