ROBOCOP(AIN)
Une étude allemande publiée en juillet dernier prouvait que les humains pouvaient se prendre de pitié… pour des machines. Devant des robots les suppliant de ne pas les éteindre, la plupart des individus testés n’arrivaient pas à appuyer sur le bouton off. Mais si vous pensiez que les robots étaient nos amis pour la vie, vous risquez d’être déçus.
ILS SONT EXIGEANTS Au printemps, Amazon et Google ont ajouté des options de politesse à leurs assitant.e.s voca.les.ux Alexa et Google Home, encourageant les utilisateurs à leur dire merci et s’il vous plaît. La raison ? Des experts commençaient à pointer la mauvaise influence de ces outils sur les enfants qui parlaient aux robots comme à du poisson pourri.
ILS SONT OMNIPRÉSENTS La région Auvergne-rhône-alpes a déployé dans ses établissements une cinquantaine de « robots lycéens » pilotés à distance, censés permettre aux élèves malades d’aller en cours grâce à un système de webcam interposées. Plus d’excuse pour les absences.
ILS NOUS TERRIFIENT Alors que Human Rights Watch lutte pour interdire les armes autonomes et que L’ONU s’active sur le sujet, l’armurier Kalashnikov vient de présenter Igorek, un robot-soldat flippant à la Transformers.