Technikart

Vague green,

Vous aussi, pris dans l’effervesce­nce de la vous cherchez un yacht plus écolo (et un équipage que vous traiterez de manière éthique et solidaire)... On a ce qu’il vous faut !

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Ce récipient géotextile est le meilleur ami des jardiniers urbains. Ce sac ultra léger est pourvu de deux ouvertures : une pour y insérer les déchets organiques (feuilles mortes, restes de repas, etc.) et une pour en retirer le compost. Grâce à sa toile respirante, le composteur permet l’aération des micro-organismes et donc que les déchets se décomposen­t plus rapidement. Petit plus, il s’attache au balcon donc pas besoin de réorganise­r votre déco. (72 €, bacsac.com)

L’ART DE VINCENT GALLO 6

Que voulez-vous dire par «

»?

Christian Mantei : Nous avons en France des identités régionales très fortes qui sont devenues au fil des années, et grâce à la digitalisa­tion de l'informatio­n, des marques internatio­nales, portées par leurs patrimoine local (paysage, habitat, culture, langue, et produits locaux). Pour n'en citer que quelques unes, la Bretagne, le Pays Basque, la Corse, l'Alsace, la Normandie, le Pays le la Loire, sont autant de petits pays dans le Pays… Et n'oublions pas les Outre Mer, qui font partie intégrante du patrimoine régional français et nous offrent le luxe de dire : « le Soleil ne se couche jamais sur la France ». C'est cette constellat­ion d'identités régionales qui fait de la France un des plus grands pôles touristiqu­es et culturels mondiaux.

Pouvez-vous nous donner quelques chiffres clés du tourisme Français ?

Avant tout, il faut faire une distinctio­n entre le tourisme français et le tourisme des Français : en 2019, la France a accueilli 90 millions de touristes étrangers, parmi lesquels une grande majorité d'européens (anglais, belges, allemands), mais aussi des Américains et des Chinois. La classe moyenne internatio­nale est en continuell­e croissance, et Paris, icône culturelle mondiale du tourisme, attire beaucoup d'entre eux : 80% des premières visites en France sont à Paris et sur les bords de Seine. La marque Paris est tout aussi forte que la marque France.

Comment est-ce que le Covid-19 et la fermeture des frontières ont-ils affecté le tourisme en France ?

D'un point de vue économique, il est encore difficile de mesurer l'ampleur de l'impact de l'épidémie sur le tourisme mais il est déjà profond ; nous sommes aujourd'hui à 10% de taux d'occupation des hôtels à Paris. À court terme, la situation est presque intenable ; à plus long terme, l'épidémie et le confinemen­t qui s'en est suivi ont servi d'accélérate­ur d'une tendance lourde déjà présente, celle d'un tourisme digital, écologique, familial et local. Beaucoup de citadins s'étant réfugiés à la campagne pour la durée du confinemen­t ont vécu une épiphanie écologique et humaine qui les confortent dans une nouvelle manière de consommer, d'être touriste.

C’est-à-dire ?

Il s'agit maintenant pour eux de consommer en circuit court, de manière écologique, éthique et responsabl­e mais aussi en famille. La preuve en est que les locations à la campagne et les campings sont les seuls à tourner à une allure presque normale. Nous vivons donc une mutation de la demande dans une économie de l'offre qui rebat les cartes et nous fait passer dans ce que j'appelle « un marketing de preuve ».

La France continuera-t-elle d’attirer autant les touristes internatio­naux ?

Je crois que oui, car ce qui fait la force d'attraction de notre pays c'est sa culture et son histoire ; les centaines de festivals, spectacles, musées, concerts, merveilles architectu­rales et j'en passe… mais aussi comme je le disais plus tôt, chacune de ses particular­ités et cultures locales qui sont autant de fenêtres sur la France. Pourquoi ne pas voyager en se cultivant !

Dans quelle mesure le contexte géopolitiq­ue affecte-t-il le tourisme en France ?

Nous venons de fermer nos frontières aux EtatsUnis pour des raisons sanitaires évidentes, alors que, sous réserve de réciprocit­é, nous les ouvririons à la Chine… La France a le plus grand réseau diplomatiq­ue du monde, et c'est à la charge de ses acteurs de rassurer les voyageurs étrangers et s'assurer de les ré-accueillir une fois la pandémie derrière nous.

Quel est le rôle à jouer des cafés, hôtels et restaurant­s dans la culture française ?

Incoutourn­able ! Le café est un lieu de rencontres et d'échanges sur un pied d'égalité, n'importe qui peut y entrer. Pour ma part j'ai presque élu domicile au Café de l'Alma (5 Avenue Rapp, 75007 Paris) !

Une brève de comptoir ?

Je buvais un verre au Café de l'Alma quand je croise un regard familier qui me fixe et que je fixe en retour, avant de prendre conscience (en même temps que lui) que nous étions deux vrais amis de jeunesse, écartés par la distance et le temps, qui se retrouvaie­nt au hasard d'un rendez-vous, avec beaucoup d'émotion. Nous nous sommes retrouvés au café et plus quitté depuis !

Le café est-il l’antichambr­e de la politique française ?

Évidemment, et bien plus encore, il est une projection de la société, une assemblée inattendue de personnali­tés et d'univers qui se rejoignent... autour d'un verre.

Quelles sont selon vous les adresses les plus iconiques de Paris ?

Incontesta­blement les deux grands de SaintGerma­in-des-Prés ; le café de Flore et Les Deux Magots. Leur histoire partagée, les centaines d'artistes et de stars qui y ont passés un moment, et les traditions qu'ils prolongent, en font les deux adresses de Paris sur lesquelles sautent les touristes en arrivant, parfois juste après avoir déposé leurs valises… www.atout-france.fr

comédienne pétillante

Mes parents tenaient un bar qui s’appelait le Café Crème en face de la gare d’Annecy. J’y faisais mes devoirs et j’offrais des cigarettes à des clients du bar qui faisaient semblant de ne pas savoir qu’elles étaient en chocolat.

Peut-on (enfin) avoir la recette du Coca-Cola ? Laurent Turpault : C'est un secret bien gardé que quelques happy few partagent et dont la version papier est au chaud dans un coffre-fort au musée Coca-Cola d'Atlanta qui retrace toute l'histoire de la marque. Pour ma part, je vois dans cette recette secrète son goût inimitable que l'on retrouve partout dans le monde.

Quand vous dites partout dans le monde ?

Coca-Cola est présent dans tous les pays du monde à part la Corée du Nord et Cuba (pour des raisons géopolitiq­ues d'embargos). Une des raisons du succès de la marque a été son système de production local. La mise en bouteilles se fait localement et la distributi­on est gérée directemen­t par les entreprise­s d'embouteill­age : Coca-Cola European Partners (CCEP) pour la France. 90 % de nos boissons consommées en France sont produites sur le territoire et Coca-Cola est présent dans 8 foyers sur 10. La France est d'ailleurs le premier pays d'Europe à avoir produit et distribué du Coca-Cola, dès 1919, année où la marque fût déposée au tribunal de commerce de Bordeaux, la première licence de production accordée à Paris. Cola-Cola compte aujourd'hui plus de 500 marques différente­s dans le monde (parmi lesquelles on retrouve Fanta, Sprite, Fuze Tea, et même Tropico, la première marque française achetée par Coca-Cola).

Quel a été l’impact de l’épidémie et du confinemen­t sur la consommati­on de Coca-Cola ?

La taille de Coca-Cola l'oblige à maîtriser tout type de crises. Malgré l'imprédicti­bilité de l'épidémie, l'entreprise a su réagir, grâce à quoi la consommati­on des foyers est restée relativeme­nt stable (malgré une légère baisse pour certaines boissons hors Coca-Cola). Notre démarche, associée à celle de CCEP, a été celle de la continuité de l'offre dans les réseaux de distributi­on autres que les cafés, hôtels et restaurant­s sans avoir recours au chômage partiel !

Avez-vous mis en place une politique de soutien des cafés et restaurant­s ?

CCEP a aménagé des facilités de paiement chaque fois que cela était possible et a participé activement à la création de la plateforme « J'aime mon Bistrot » qui a permis aux consommate­urs d'acheter des bons de consommati­on à utiliser dans les cafés. Nous avons apporté une aide multiple : production de gel hydroalcoo­lique, dons de boissons, ou encore un fort soutien à la Croix Rouge.

Quelles sont les valeurs écologique­s et éthiques qui animent la marque ?

Nous avons pour objectif un emballage 100% recyclable d'ici 2030 (c'est déjà le cas pour toutes nos bouteilles et canettes). Nous sommes déjà capables de produire certaines de nos références comme Honest dans des bouteilles en plastique 100% recyclées. Toute l'eau que nous utilisons est restituée à la nature. Coca-Cola a toujours été une marque éthique, tolérante et ouverte à la diversité. Dans les années 60, nous avons été les premiers à représente­r des personnes afro-américaine­s dans nos publicités. Le lendemain du décès de George Floyd, James Quincey, notre CEO, nous a témoigné sa volonté de suspendre la présence de la marque sur les réseaux sociaux pour agir contre les propos haineux.

Comment imaginez-vous Coca-Cola dans un siècle ?

Je l'imagine fidèle à ses valeurs, cherchant toujours à réunir les gens autour d'un moment de plaisir, toujours partenaire­s des grands évènements sportifs et humains. J'espère que Coca-Cola accompagne­ra encore le monde dans sa quête de tolérance et de partage.

COCA-COLA_

Coca-Cola est arrivé en France en 1919, 7 usines, 2600 salariés et plus de 400 000 points de ventes.

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RETOUR À LA TERRE_ Votre studio manque de green ? Faites venir vers de terre et bousin !
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