Psychotest
QUEL MENTEUR ÊTES-VOUS ?
1. Qu’est-ce que mentir ? A. Un besoin naturel. B. Souvent une échappatoire. C. Une vraie galère.
2. Quand vous mentez…
A. Vous êtes sûr de vous, car vous avez mûrement préparé votre coup. B. Vous vous emmêlez les pinceaux. C. Vous rougissez et perdez votre voix.
3. Quand vous faites avaler des couleuvres plutôt facilement, que ressentez-vous ?
A. Vous vous en félicitez et vous recommencez… c’est si drôle !
B. Vous craignez fortement de vous trahir un jour ou l’autre.
C. Vous culpabilisez et vous êtes honteux.
4. Vous faites tomber malencontreusement le vase Ming si cher à votre grand-tante.
A. Vous ne comprenez pas ! Un courant d’air est certainement responsable de ce désastre.
B. Vous l’avez trouvé comme ça. C’est une catastrophe, c’est certain !
C. Vous présentez de plates excuses. Comment le remplacer, vous n’avez pas les moyens, hélas !
5. Quand d’autres ont tant à raconter, vous, vous n’avez jamais rien pour épater la galerie. Alors ?
A. Vous déformez la réalité au risque de passer pour un tartarin.
B. Vous enjolivez certains détails juste pour vous attirer des oh ! et des ah !
C. Votre pudeur ne vous pousse guère à exposer votre vie privée.
6. Vous avez perdu le livre préféré de votre ami, livre dont vous deviez prendre grand soin. Comment vous en sortez-vous ?
A. Vous êtes une tête de linotte et vous ne savez vraiment pas où il se cache… Mais vous allez le retrouver, c’est sûr !
B. Vous vous êtes permis de le prêter à une tierce personne qui tarde à vous le rendre.
C. Vous avouez votre faute, vous pleurez et vous vous faites pardonner.
7. Et si l’on vous mentait, quelle serait votre réaction ?
A. Vous le sentiriez tout de suite. Ce n’est pas à un vieux singe qu’on apprend à faire la grimace. B. Sans pitié, vous démasqueriez le malotru. C. Aucune, vous gobez tout ce que l’on vous dit.
8. Sur une échelle de 1 à 10, quelle est selon vous votre propension à mentir ? A. 10. Vous l’avouez volontiers. B. 5. C’est seulement quand cela vous arrange. C. 1. Vous mentez plus par omission.
9. Pourriez-vous perdre un ami, à cause d’un petit mensonge qu’il vous aurait fait ? A. Oui ! Et puis un de perdu, dix de retrouvés ! B. Il est impardonnable de mentir à ses amis. C’est oui !
C. Non ! On ne perd pas un ami pour une peccadille. Une explication et c’est reparti ! 10. Comment gérez-vous le mensonge de vos enfants ?
A. Privés de desserts et privés de sorties ! Le mensonge est une affaire d’adultes ! B. Vous en parlez, ils vous expliquent et cela s’arrange. C. Vous pardonnez sans doute trop facilement. 11. Et si l’on vous ment pour vous protéger seulement ? A. Pas de quartier ! A vous, on ne ment pas ! B. Vous appréciez qu’on ait voulu vous ménager, mais vous préférez la clarté au nébuleux.
C. Une telle bienveillance ne peut qu’être bien perçue. 12. Etes-vous conscient que le mensonge peut tourner à la mythomanie ? A. Comme on est tous des névrosés, peu importe ! B. Il ne faut pas exagérer ! Vous n’en êtes pas là. C. Effectivement ! mais par rapport à cela, vous êtes serein.