Toutes les Nouvelles (Rambouillet / Chevreuse)
Lavieengrand
Décidément, beaucoup d’actualités autour du Scenic cette année. 2016 inaugure en effet la quatrième dynastie du monospace au Losange, avec déjà des séries limitées Lounge et Edition One. Depuis quelques semaines, l’empereur familial de Renault adopte en outre le mode sept places dans une carrosserie bien plus proportionnée que par le passé, en raison notamment de son empattement, copiécollé malin de la chic et longiligne Talisman. Le Grand Scenic 4 dispose d’un volume de coffre de 765 litres sous tablette, et d’une modularité exemplaire. Les 23 cm gagnés sur la variante 5 places n’entament en rien le style et le dynamisme de cette mouture. Le Grand Scenic se chausse d’ailleurs des mêmes jantes, 20 pouces de série, et de teintes de carrosserie bi-ton en option, ornements qui font le succès du Scenic 4 compact depuis le printemps dernier. Sur le plan mécanique, les moteurs essence et diesel débutent à 110 chevaux. Tarif : à partir de 25 000 euros
toujoursautop
Autonomie tout électrique (50 km), puissance (122 ch), vitesse maximale (135 km/h). La Toyota Prius peaufine ses bons scores. Celle qui fut longtemps la seule représentante mondiale de l’hybride revient au premier plan. La compacte nippone actualise son look certes, mais surtout son savoir-faire en matière de batterie rechargeable. Grâce aux évolutions, elle utilise simultanément le moteur électrique et le générateur au profit de l’accélération. Parallèlement, la technologie qu’elle embarque minimise le recours au moteur essence, même en cas de reprise soudaine ou d’utilisation du chauffage. Conséquence, la Prius laisse entrevoir une consommation mixte de 1,4 litre/100 km pour un taux de COÇ limité à 32 g. Comble de l’innovation, elle profite d’un panneau solaire greffé à son toit. Tarif estimé : 35 000 euros
on ne risque rien. »
Heureusement sur place il y avait de quoi le consoler avec la burger party concoctée par le comité des fêtes. Hamburgers, nuggets, hot-dogs, frites, pop-corn étaient au menu. 200 repas étaient prévus, il fallut en servir 400 ! « Quel succès ! Nos réserves sont épuisées » déplorait Gérard Mejecase, président.
Dans l’après-midi un concert de rock avait été organisé. Quatre musiciens et une chanteuse, Emmanuelle, mettaient alors le feu avec un répertoire de chansons rock des années 60 et 70 interprété par le groupe « No name » . Après le chant, la danse, et qui dit Amérique dit country bien sûr. Adèle, présidente du Quentin Country Line Club, était venue avec huit danseurs. Au son du boogie, du blue grass ou du country western ils présentèrent quelques danses typiques, avant d’inviter le public à participer. Ce dernier, enchanté, ne se fit pas prier et ce sont alors plus de 50 personnes, toutes générations confondues, qui transformèrent le parc du château en véritable prairie texane. Adèle et Line, deux collégiennes sont même montées sur scène : « C’était super, un peu difficile mais on a vraiment aimé. » documentée sur la création des Résidences du Château avait été préparée par Jean-michel Michenaud et Catherine Belin, anciens adjoints au maire. Sans oublier un film produit par trois étudiants en journalisme. « Quelle belle journée ! Avec la musique et toutes les animations, nous avons été transportés de l’autre côté de l’atlantique pour quelques heures. Merci à tous les organisateurs » , déclare Pierre, conquis. Claire et Bruno, habitants des Résidences du Château depuis 5 ans, ont définitivement adopté leur ville : « Nous venons de Guyancourt, nous apprécions ce côté paysager, verdoyant et cette commune dynamique pour nos deux enfants. Nous sommes heureux ici. »