Toutes les Nouvelles (Rambouillet / Chevreuse)

Une nouvelle épicerie ouvre près du Rondeau

COMMERCE. en passant par les produits d’entretien, les boissons et la sandwicher­ie, les commerçant­s offrent des rayons bien achalandés. Les confiserie­s sont en bonne place pour les élèves du collège et du lycée à côté. Leur point fort sera les fruits et

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Outre les exposition­s, le festival Festiphoto sera riche en animations et stages autour de la découverte de la nature. Il ne faudra pas manquer les stages photos « Macro » les 22, 23 et 24 septembre (30 euros). Un stage aussi pour photograph­ier les cervidés à l’espace Rambouil- let, le 23 septembre (55 euros) ou les oiseaux aux Etangs de Hollande, les 23 et 24 septembre (30 euros). Une séance d’initiation à la photo animalière est ouverte le 23 septembre à la Bergerie nationale durant 8h (100 euros). Il est possible d’en savoir plus sur les champignon­s avec une sortie le 22 septembre (10 euros) et de plonger dans la nuit des chauves-souris, le 23 septembre (10 euros). Tout savoir sur la récolte de plantes sauvages, c’est possible le 23 septembre au Perray (10 euros). Cette semaine sera aussi l’occasion de découvrir la réserve naturelle de Bonnelles le 23 septembre (10 euros). La saison sera propice à l’écoute du brame du cerf à l’espace Rambouille­t (34 euros) ou encore à la découverte des oiseaux d’eau du parc du château. Et si la nuit de la chouette vous interpelle, il faudra réserver sa place pour le 7 octobre à Saint-hilarion. Une dizaine d’autres moments de nature sont au programme. Il suffit de s’inscrire sur http://www.festiphoto-foret-rambouille­t.org/animations

Bergère de famille, cabriolet médaillon, chauffeuse, crapaud, siège Voltaire, Valérie Blondeau redonne vie aux meubles d’époque aussi bien qu’aux contempora­ins. Depuis quelques mois, elle s’est installée comme tapissier garnisseur avec un showroom à Rambouille­t, 2, rue du général Humbert. « Ma grand-mère était couturière, j’ai toujours aimé la couture. J’ai fait plusieurs créations, puis de fil en aiguille, je me suis tournée vers l’activité de tapissier-garnisseur, avec les conseils de Léane, qui était tapissier garnisseur à Rambouille­t », raconte Valérie.

Pour élargir ses connaissan­ces et son savoir-faire, Valérie a suivi une formation de 8 mois à L’AFPA de Chartres : « Elle m’a permis de mieux connaître les techniques comme le crin avec les compagnons du tour de France ». Le métier de tapissier garnisseur­s allie délicatess­e et patience. « Il faut commencer par tout dégarnir, s’occuper du soin du bois, recoller la structure, rechercher les tissus auprès des éditeurs parisiens, avant de commencer la garniture en elle-même. Chaque mobilier est différent, à son histoire », détaille l’artisan qui peut travailler de 15 à 25h sur un mobilier passant les lacets dans la toile de jute pour poser le crin avant de le modeler. Elle apprécie aussi de redonner éclat et forme à un canapé ou le travail d’orfèvre du capiton. ▲L’atelier du bout d’a Haut. Tél. : 06 63 70 09 15.

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