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A12 : ils font retirer la bâche du vélodrome
FRONT ANTI-PUBLICITÉ. Ce sont chaque jour des milliers d’automobilistes qui passaient devant cette publicité ornant l’équipement sportif. Par son action, l’antenne locale de l’association Résistance à l’agression publicitaire (RAP) vient d’obtenir le ret
David Métin.
à un licenciement sur la base d’un formulaire alors qu’à ce jour, la lettre de licenciement doit être motivée de sorte que le salarié doit connaître les griefs qui lui sont reprochés.
D’autre part, avec la nouvelle loi, la lettre de licenciement rédigée par l’employeur pourra être allégée. Il appartiendra alors au salarié, dans les conditions fixées par un décret à venir en Conseil d’état, d’interroger l’employeur pour qu’il précise ou complète la lettre de licenciement s’il l’estime insuffisamment motivée. C’est ce que le gouvernement appelle le « droit à l’erreur de l’employeur » dans les motifs du licenciement. C’est un scandale.
Alors que le salarié a perdu son emploi et se retrouve au chômage, de son côté, l’employeur peut rectifier les motifs de la lettre de licenciement pour
Le ministre s’est également engagé à regarder, comme ses prédécesseurs l’ont fait, la question des logements sur le plateau de Satory. Cette problématique, liée à l’ancienneté des bâtiments, est un vieux serpent de mer. Personne n’a encore trouvé les budgets pour les réhabiliter comme pour certaines routes. François de Mazières, le maire de Versailles, s’est aussi entretenu avec Gérard Collomb au sujet de la piscine. Elle doit fermer en juillet prochain. Il faudrait plusieurs millions pour la remettre en état. L’etat ne semble toujours pas disposé à consacrer des fonds pour cela. éviter d’être judiciairement sanctionné. C’est un comble mais ce n’est pas tout.
Si le salarié ne demande pas à l’employeur de compléter les griefs tels qu’évoqués dans la lettre de licenciement « allégée », il ne pourra plus prétendre à des dommages et intérêts fondés sur le licenciement sans cause réelle et sérieuse mais uniquement des dommages et intérêts fondés sur une simple irrégularité de procédure. La différence est de taille.
Dans le premier cas, le salarié pouvait prétendre à une indemnité de 6 mois de salaire. Désormais, elle sera au maximum d’un mois de salaire. Et le gouvernement continue d’asséner, à l’envi, que les ordonnances sont protectrices des droits des salariés….. C’est un mensonge. »