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La micro-crèche ouvre en janvier
Jusqu’à maintenant, les bébés méréens étaient accueillis dans les crèches de Montfort et du Tremblay-sur-mauldre grâce à une convention entre les municipalités. Mais à partir de janvier, la donne sera différente. Une micro-crèche de dix berceaux ouvrira ses portes, à proximité immédiate de l’école, en plein centre-bourg.
« Les travaux ont débuté par une réunion de chantier le 3 juillet et ils devraient s’achever courant décembre », explique le maire, Michel Recoussines. Elle sera ouverte aux habitants mais également à ceux
des communes alentour. « Pour l’heure, nous avons déjà 19 inscriptions officielles. Tous les enfants ne restent pas cinq jours plein, c’est pourquoi la structure peut prendre en charge plus d’enfants qu’il n’y a de lits. Le but étant que le taux d’occupation des lits soit au plus près des 100 % », détaille le maire. La municipalité n’a pas fait le choix d’une délégation de service public pour la gérer. « Ce sera L’ADMR (Aide à domicile en
milieu rural) qui s’en occupera. La directrice a été choisie, il reste à recruter des agents. » Les premiers bambins découvriront la micro-crèche début janvier, au retour des vacances scolaires.
Le coût du projet s’élève à 460 000 euros HT. « Nous sommes subventionnés à hauteur de 30 %, dont 100 000 euros de la CAF. »
Bientôt un city park
Un autre projet à destination de la jeunesse est sur les rails. La création d’un city park sur le
terrain du Poirier d’encre. « Cet espace multisports grillagés permettra la pratique de plusieurs disciplines comme le basket, le hand, le volley ou encore le mini-foot. Le tout sur une surface imitation herbe », détaille le maire. Un concept qui existe déjà à Saulxmarchais, Garancières et Boissysans-avoir. Cette structure sera ouverte à tous, « et également aux scolaires et aux jeunes qui fréquentent le centre de loisirs. Cela permettra de désengorger le gymnase », ajoute Michel Recoussines.
Le coût du city park, en n’incluant pas la dalle, est de 56 000
HT. « Nous avons déjà obtenu 70 % de subvention pour ce projet. »
Une salle des fêtes en projet
A mi-mandat, le maire ne compte pas s’arrêter là. Un autre projet lui tient à coeur. « Avant la fin du mandat, je compte lancer un chantier pour créer une salle des fêtes dont la commune est dépourvue. Elle sera financée dans le cadre d’un contrat rural », explique Michel Recoussines. Cette salle polyvalente, dotée d’une cuisine, servira pour jouer différents spectacles, organiser des réunions. Il y aura également des
possibilités de location. « Elle se situerait à proximité de la crèche, en plein centrevillage, dans un espace où il n’y aura pratiquement pas de riverains, ce qui n’occasionnera pas de nuisances pour le voisinage. »