Un impressionnant service d’ordre à Marnes-la-coquette

A l’angle de la rue Yves-cariou et de la rue Schlumberger, des CRS ont investi le périmètre de La Savannah, le domicile de Johnny Hallyday, décédé mercredi dans la nuit, à 74 ans, des suites d’un cancer du poumon.

Devant l’immense grille, un panneau Parc de Marnes-lacoquette et tout autour des policiers en faction. Il y a là des CRS, certains armés avec des fusils d’assaut ainsi que des policiers en civil. A l’angle des rues Yves-cariou et Georgeset-xavier-schlumberger, impossible d’avancer. La demeure de Johnny Hallyday dont le décès a été annoncé dans la nuit à 2h44 est protégée comme un bunker.

Dès l’annonce du décès de la star, un important barriérage a été mis en place pour éviter les mouvements de foule.

Les barrières limitent l’accès aux journalistes très nombreux près d’une centaine - qui, caméras en main, attendent de filmer tout ce qui se passe sur place.

Tout autour de la forêt de Fausses-reposes, dans la rue Maurice-chevalier, les policiers sont là pour éviter aux paparazzi d’entrer et de faire des photos du domicile de la star.

Une dizaine de cars de CRS ont pris position ce mercredi matin dès 6 h 30 dans les rues de Marnes-la-coquette (Hautsde-seine), tout près des Yvelines. Selon une policière municipale, ils seraient plus de soixante dans

le village qui abrite 1 700 âmes.

Du jamais vu. « Il faut remonter au baptême de la fille de Johnny (Laura) où on avait plein de monde à l’église », explique-t-elle.

Dès 6 h 30, les premiers admirateurs du rockeur arrivaient pour pleurer leur star disparue.

Des CRS, des policiers ont investi La Savannah, la propriété de Johnny Hallyday, décédé dans la nuit des suites d’un cancer.