Bonne nouvelle pour le pavillon de Toulouse

Rue de la Motte se trouve le pavillon de Toulouse, construit au XVIIIE siècle pour abriter le premier hôpital de la ville. Depuis 1980, l’édifice est inscrit à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques.

Mais devenu une résidence privée, sa gestion est complexe. Aujourd’hui, une quinzaine de personnes, dont la Semir, se partagent l’acte de propriété. « On a oublié que ce bâtiment faisait partie de l’histoire de Rambouillet », déplorait, inquiet, Jean Berny, président de l’association PARR il y a quelques mois. On peut voir une façade défraîchie, des vitres brisées… Pour sauver cet élément important du patrimoine rambolitain, des travaux sont nécessaires à moyen

terme. Le hic, c’est que s’agissant d’une propriété privée, l’état ne peut pas intervenir sauf en cas de péril imminent.

Finalement, le ciel s’éclaircit au-dessus du pavillon de Toulouse. « Le conseil syndical, qui a récemment changé, a voté favorablement pour faire appel à un architecte. Il va élaborer le programme des restaurations nécessaires se lancera ensuite dans les travaux », a indiqué le viceprésident de Parr, Pierre-yves

Burgaud. « Une fois que le dossier sera bien ficelé et les financements trouvés, nous pourrons aider ce projet. Notamment par le biais de Stéphane Bern avec lequel nous aurions la possibilité de rentrer en contact. »