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Le jeune palefrenier meurt dans l’incendie
Un drame a eu lieu dans la nuit du samedi 21 au dimanche 22 janvier à Gazeran, au haras de La Clairière. En pleine nuit, vers 2 heures, un incendie s’est déclaré dans une des bâtisses, celle toute proche des écuries. Elle était aménagée en dortoir pour les jeunes suivant une formation.
Au moment de l’incendie, neuf personnes se trouvaient sur place. Elles ont été réveillées par les hennissements des chevaux, affolés par le feu qui se propageait.
Un jeune de 19 ans n’a pas réussi à gagner la sortie. Les pompiers l’ont découvert brûlé sur environ 70 % du corps. Les secouristes l’ont maintenu en vie en lui faisant un massage cardiaque. Inconscient, il a été évacué en urgence à l’hôpital Saint-louis de Paris. Il n’a pas survécu. Dans le même temps, deux autres jeunes de 17 ans ont été admis à l’hôpital de Rambouillet. Ils avaient été incommodés par les fumées. Ils sont ressortis quelques heures plus tard.
La piste de l’accident
Le jeune homme de 19 ans venait d’arriver dans la région. Originaire de Moulins, dans l’allier, il avait intégré la structure la veille en signant un contrat de travail en tant que palefrenier et soigneur de chevaux.
Aucun animal n’a été blessé lors de ce tragique événement. Le haras devrait pouvoir reprendre un minimum d’activité.
Une enquête a été ouverte pour déterminer les causes de l’incendie. « L’accident est privilégié. Mais il faut attendre les résultats de toutes les analyses. Le feu aurait pris dans un local technique où
Le plombier était un escroc
Un habitant de Louveciennes, âgé de 49 ans, a été escroqué par un plombier la semaine dernière. Ce samedi 14 janvier, vers 19 heures, une fuite apparaît dans son logement. Il contacte le soi-disant professionnel. Il a obtenu son numéro sur un tract publicitaire. Le plombier répare la fuite et dresse une facture exorbitante : 3 100 euros.
Le quadragénaire, diminué par son état mental, accepte le montant de la prestation. Il verse 300 euros en espèces et donne un chèque en complément, sans ordre. Flairant qu’il peut obtenir plus, le réparateur propose à sa proie de se rendre à un distributeur automatique de billets. Là, il présente un boîtier dans lequel le Louveciennois doit mettre sa carte. Il s’agit en fait d’un appareil récupérant les données confidentielles. Les deux hommes se séparent.
Quelques instants plus tard, la victime reçoit plusieurs alertes sur son téléphone. Quelqu’un a essayé de faire des achats à distance pour un montant de 700 euros. Les transactions ont été bloquées par la banque.
Suite à sa plainte, le commissariat de Saint-germain-en-laye a été chargé d’enquêter.