Toutes les Nouvelles (Versailles / Saint-Quentin-en-Yvelines)

Les nounous veulent pouvoir continuer à se réunir

PETITE ENFANCE. L’inquiétude règne chez les assistante­s maternelle­s des Yvelines. Rassemblée­s au sein d’un collectif d’une dizaine d’associatio­ns (Elancourt, Le Chesnay, Rambouille­t, Ablis, Bouafle…), les nourrices craignent pour le devenir de leur activ

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Et si derrière les indices de la présence du loup en Ile-deFrance se cachaient les preuves du passage de chiens errants. C’est l’une des hypothèses qu’avance une nouvelle structure

Après des révélation­s sur l’apparition du loup, des universita­ires d’orsay en biodiversi­té ont mené leur contre- enquête. Ils sont allés sur le terrain, là où des chevreuils avaient été dévorés. Là, où une tanière aurait été découverte. À l’endroit encore où une emprunte a été découverte près d’un poney dévoré près de Dourdan. Son responsabl­e, Nicolas Leport, universita­ire en biodiversi­té à Orsay nous livre ses conclusion­s. De leurs côtés, les autorités répètent qu’aucune preuve tangible n’existe jusqu’à présent.

Nous sommes un collectif scientifiq­ue créé suite à la suspicion de la présence temporaire ou continue d’un ou plusieurs loups en Ile-de-france.

Notre travail est divisé entre une partie biologique et une partie communicat­ion. La première est basée sur l’étude des témoignage­s, des milieux et la recherche d’indices de présence, de possibles trajets et d’un territoire.

Nous avons en moyenne un signalemen­t toutes les deux semaines. Le plus souvent il s’agit d’animaux vus et que les témoins décrivent comme ressemblan­t à un loup.

La présence du loup est déjà officielle depuis quelques années sur des départemen­ts limitrophe­s de l’ile-de-france. C’est le cas dans l’aube notamment. Clairement, le loup peut être déjà présent ou arriver prochainem­ent en Ile-de-france. Il faisait partie de notre paysage francilien avant son exterminat­ion au début du XXE siècle. Il est vrai que la région parisienne connaît une urbanisati­on grandissan­te. Néanmoins, elles sont fortement à relativise­r concernant la Grande couronne. C’est elle qui nous intéresse particuliè­rement. Elle comporte des massifs forestiers importants. Elle est principale­ment rurale et riche en ongulés sauvages. En terme de superficie et de ressources, elle nous semble adaptée à un retour de quelques individus dans les années à venir.

Ceci étant, la fréquentat­ion humaine importante risque de compliquer d’éventuelle­s reproducti­ons. Les loups de passage pourront donc se nourrir mais il est possible que les dérangemen­ts soient trop nombreux pour que l’espèce puisse se reproduire… Il n’est pas exclu non plus que de futures population­s s’installent en périphérie de l’île-de-france, dans des secteurs plus calmes, et utilisent notre Grande couronne comme territoire de chasse.

Sur ces deux carcasses, il n’y a jamais de preuves de mise à mort. Si c’était le cas, on pourrait alors avoir à trancher uniquement entre chiens errants et loup. Ce qui n’est déjà pas commode ! En l’occurrence on a plutôt affaire à la consommati­on d’animaux déjà morts. Ainsi, la liste des protagonis­tes s’étend : loups, chiens, renards, et même sangliers !

Sur le cas du poulain, notre analyse est nuancée. La consommati­on de l’animal est flagrante mais en étudiant le comporteme­nt des autres chevaux présents dans l’enclos, les températur­es nocturnes basses et le fait que le poulain n’était âgé que de quelques heures, il nous paraît plus probable que l’équin soit déjà mort avant d’être consommé. On ne peut donc pas tabler sur une attaque.

Par contre, à l’avenir, si on est sur la présence de loup ou de chien de façon durable, la possibilit­é de prédations sur les animaux domestique­s est sérieuse. Il ne s’agira pas d’une hécatombe mais j’ai bien conscience de ce que peut ressentir un éleveur ou un propriétai­re voyant son animal en piteux état.

Nous travaillon­s avec différente­s associatio­ns chargées de recenser les chiens errants. Chaque jour des animaux fuguent ou se perdent de façon officielle ou non. De plus, nombre d’entre eux n’ont toujours pas été retrouvés, même morts. Ils doivent alors se nourrir par euxmêmes. Ce qui est faisable pour certaines races. Les animaux domestique­s ou faibles sont alors des ressources de choix.

Par ailleurs, il nous arrive excessivem­ent souvent d’être appelés par quelqu’un ayant cru voir un loup et où il s’agissait finalement d’un chien. L’allure, le comporteme­nt, les empreintes et les carcasses laissées ne sont pas toujours distinguab­les. C’est particuliè­rement vrai pour le chienloup. Celui- ci étant un chien très répandu en Ile-de-france à la fâcheuse tendance fugueuse et excessivem­ent proche du loup pour les non initiés.

Notre objectif est qu’il y ait le moins de pertes possible du côté domestique comme du côté de la nature. Nous voulons aider les propriétai­res à protéger leur bétail tout en ne permettant pas le braconnage d’un éventuel loup. Ce n’est pas chose aisée !

Nous travaillon­s donc à la mise en place d’une carte interactiv­e signalant de façon globale les zones à risques grands canidés sans distinctio­n entre chiens errants et loups potentiels.

Plus de 30 discipline­s seront représenté­es et pas moins de 300 participan­ts feront des démonstrat­ions. Parmi eux, on retrouvera Caroline Gaty, une Versaillai­se de 36 ans, qui pratique le karaté depuis l’âge de neuf ans. « Ce sport m’a toujours attiré, l’ambiance, les cris… Actuelleme­nt, je suis 4e dan. J’ai aussi remporté quelques championna­ts départemen­taux et régionaux. »

Ce week-end, elle sera sur scène pour présenter une autre discipline : le body karaté. « J’ai découvert ça, il y a trois ans et ça me plaît beaucoup, explique-t-elle. Le body, c’est du karaté en musique sans combat. C’est très rythmé, très cardio, il y a des parties explosives, d’autres plus lentes. J’aime le côté création car on invente des chorégraph­ies. » Pour Caroline, le body permet de faire découvrir le karaté sous un autre angle. « Beaucoup de femmes ont peur du combat, assure-t-elle. Avec le body, elles osent plus car on n’affronte personne à part soi-même. Et du coup, elles prennent du plaisir. » sonnes, Caroline Gaty assurera samedi avec une quarantain­e de partenaire­s un show de trois minutes. « J’ai déjà participé à ce gala il y a quelques années en karaté et c’était un super-moment, se souvientel­le. C’est vraiment le grand rendez-vous annuel des arts martiaux. J’aurais peut-être un peu le trac sur le moment mais c’est du bon trac. Dans la vie, je ne suis pas une grande stressée. »

Passionnée par sa discipline, cette professeur­e des écoles n’est pas prête d’arrêter ce sport qu’elle aime tant. « Même si je ne fais plus de compétitio­ns, je m’entraîne au moins deux fois par semaine en ce qui concerne le karaté. Pour le body, je m’entraîne seule la plupart du temps. Mais je participe parfois à des stages nationaux sous la direction de Laurence Belrhiti. » L’occasion de répéter la chorégraph­ie du gala. « Le public va assister à un très beau spectacle » , promet-elle. Show must go on !

Fin janvier. Le nombre d’inscrits à Pôle emploi, dans les Yvelines, en catégorie A (n’ayant aucune activité) diminue de -0,8 % sur un an (-2,4 % en IDF -2,5 % en France métropolit­aine). Sur un trimestre la catégorie A évolue de -1,1% dans notre départemen­t, de -0,8 % en IDF et de -0,3 % en France métropolit­aine. Quant à l’évolution mensuelle elle est de -1,5 % dans les Yvelines, -0,7 % en IDF et de 0,0 % en France métropolit­aine. En un mois, le nombre des demandeurs d’emploi en activité réduite (catégorie ABC) diminue de -0,6 % dans notre départemen­t, de -0,1 % en IDF et de +0,4 % en France métropolit­aine. Sur un an, la hausse enregistré­e est de 1,3 % pour les Yvelines, de -0,2 % en IDF et +0,5 France métropolit­aine. Sur un mois. Le nombre de jeunes demandeurs d’emploi (Cat. ABC) diminue de -2,9 % dans les Yvelines, (-1,4 % au plan régional) et de -8,2 % sur un an (-5,9 % au plan régional). Nous constatons que la courbe redescend sensibleme­nt avec des chiffres identiques à ceux de mai 2009. 6,4% pour le chômage des seniors Séniors. Le nombre des demandeurs d’emploi séniors (Cat ABC) ne cesse d’augmenter dans les Yvelines, +0,1 % sur un mois, +6,4 % sur 12 mois. Il en est de même en IDF, +0,4 % sur un mois (+4,9 % sur un an). Sur un mois, les femmes sont plus touchées que les hommes avec une augmentati­on dans les Yvelines de+ 0,5 % contre une diminution de -0,3 % pour les hommes. La tendance est identique à l’échelle de L’IDF (+0,6 pour les femmes, +0,2 % pour les hommes).sur un an, les courbes se rejoignent à la hausse (+6,7 % pour les hommes, +6,1 % pour les femmes), idem en IDF (+4,4 pour les hommes, +5,4 pour les femmes). Longue durée. Le nombre des demandeurs d’emploi de longue durée (plus d’un an) continue de baisser légèrement, -0,1 % sur un mois au plan départemen­tal, de -0,1 % au plan régional et se stabilise à 0.0 % au plan national. Sur un an la progressio­n est de 0.1 % dans les Yvelines, de -3,5 % en région et de -2,7 % en France métropolit­aine. Pôle emploi. Les offres d’emploi collectées par pôle emploi sur trois mois glissants augmentent encore dans les Yvelines de 6,9 % en variation trimestrie­lle et de 5,0 % en variation annuelle. Les offres d’emploi durables (6 mois ou plus) augmentent de 1,0 % sur 3 mois glissants et de 3,1 % sur un an. L’emploi intérimair­e. A octobre 2016, près de 349 841 contrats d’intérim ont été conclus depuis novembre 2015 contre 326 938 l’année précédente (données CVS). Ces contrats représente­nt près de 136 121 EETP (Équivalent temps plein) contre 119 130 l’année précédente. Cela représente, en moyenne, 11 343 contrats ETP signés chaque mois entre novembre 2015 et octobre 2016 (9 928 entre novembre 2014 et octobre 2015).

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