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« Si on m’avait dit L’INTERVIEW. que je serais arbitre en Ligue 2… »

- Propos recueillis par Basile Regoli

Pourquoi avoir choisi la voie de l’arbitrage ?

« J’ai commencé par être jeune arbitre UNSS en basket. Les professeur­s D’EPS de mon collège à La Celle Saint-cloud proposaien­t une formation, ça m’intéressai­t de découvrir. Puis j’ai su que mon club de foot cherchait à former des arbitres, notamment pour pouvoir être en conformité avec les instances. Je me suis lancé et je ne regrette pas mon choix. J’ai continué à jouer au Cellois jusqu’en U19 puis il a fallu faire un choix à un moment.

Pouvez-vous nous décrire votre parcours ?

J’ai commencé comme jeune arbitre de district sur des matches de la catégorie des moins de 15 ans puis en moins de 17 ans. Et j’ai été promu sur des rencontres seniors à 19 ans. Quelques années après, j’ai été présenté à la Ligue pour être arbitre régional. C’est à ce moment-là que je me suis dit que la voie d’arbitre central était un peu bouchée et j’ai décidé de prendre la touche. J’ai ensuite terminé major de ma promotion à la fédération. C’était il y a trois ans. J’étais donc arbitre en National ces deux dernières saisons et maintenant en Ligue 2.

Vous semblez franchir les étapes à grande vitesse…

C’est vrai que ça a été assez rapide. Si on m’avait dit il y a treize ans que je serais arbitre en Ligue 2, je n’y aurais pas cru. Là, à 29 ans, je peux m’autoriser des envies pour aller voir un jour au-dessus.

Comment s’est passé votre premier match en Ligue 2, Clermont-tours le 4 août ?

Cela a été un moment très particulie­r avec beaucoup d’émotions. J’ai partagé ça avec mon arbitre central qui est monté comme moi cette année. Maintenant, il était surtout important d’enclencher une bonne dynamique en commençant par un match propre. Et ça a été le cas. Tout s’est bien passé.

À quoi ressemble la journée type d’un arbitre ?

Il faut savoir qu’on arrive la veille du match. On va faire généraleme­nt un petit décrassage d’une vingtaine de minutes le matin pour mettre la machine en route. Le midi, on déjeune ensemble avec les trois arbitres. On se retrouve ensuite vers 17h pour faire un point sur les deux équipes avant de prendre la direction du stade et d’arriver deux heures avant le match. On a alors les traditionn­elles formalités administra­tives puis l’échauffeme­nt. Et après, on entre dans le bain.

Comment vous préparezvo­us physiqueme­nt ?

On s’entraîne quotidienn­ement et on double même certains jours. On est suivi par un préparateu­r physique qui nous envoie un programme d’entraîneme­nt. Toute la semaine est calquée sur le match. On a des séances plutôt axées sur le cardio, d’autres pour travailler nos appuis et la vitesse. On a aussi du renforceme­nt musculaire, de la propriocep­tion, etc. C’est très complet. Les arbitres de la fédération sont vraiment des athlètes.

Qu’est-ce qu’un match réussi pour un arbitre ?

C’est un match où on ne parle pas de nous, c’est aussi simple que ça.

Si vous deviez dire quelques mots à des jeunes qui hésiteraie­nt à se diriger vers l’arbitrage, quel serait votre discours ?

L’arbitrage, c’est une école de la vie. Ça change un homme, ça a été le cas pour moi. On a beaucoup plus confiance en soi. On apprend aussi à prendre des décisions rapidement. Ce que je vis, ce n’est que du bonheur. »

Professeur d’histoire-géographie aux Mureaux, Brice Parinet, Bougivalai­s de 29 ans, est arbitre assistant cette saison en Ligue 2. Entretien avec celui qui est aussi vice-président du club du Cellois.

Par arrêté n° UR-2017-001, le maire de Viroflay a prescrit la modificati­on simplifiée n° 3 du PLU qui porte sur les dispositio­ns de l’article 2 – Occupation­s et utilisatio­ns du sol autorisées sous condition- des zones UA, UC et UV du règlement du PLU, relatives aux seuils qui rendent obligatoir­e la réalisatio­n de logements locatifs sociaux dans une opération de logements collectifs.

Par délibérati­on n° 68-17, le conseil municipal a défini les modalités de mise à dispositio­n du projet au public.

Le dossier et un registre seront tenus à la dispositio­n du public du lundi 4 septembre au vendredi 6 octobre 2017 inclus à l’hôtel de Ville, 2, place du Général-de-gaulle à Viroflay, aux jours et heures habituels d’ouverture (fermeture les dimanches et jours fériés) :

- les lundi, mercredi, jeudi et vendredi de 8 h 30 à 12 h 00 et de 13 h 30 à 17 h 30, - le mardi de 13 h 30 à 19 h 00, - le samedi de 9 h 00 à 11 h 30, Durant cette période, les observatio­ns du public seront recueillie­s dans le registre ouvert à cet effet, à l’hôtel de Ville, ou adressées par courrier à l’attention du maire - BP 16 - 78221 Viroflay cedex - et le dossier sera consultabl­e sur le site www.ville-viroflay.fr.

Par une délibérati­on du 12 mai 2017, l'assemblée générale a nommé Mme Sandrine PALLUD, sise chez KPMG, au 9, avenue du Granier, 38240 Meylan, commissair­e aux comptes suppléant, pour une durée de six ans, en remplaceme­nt de M. Daniel FIORINA, dont le mandat était arrivé à expiration.

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Après deux saisons à officier en National, Brice Parinet a été promu cette année en Ligue 2.

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