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Le Festival de la bande-annonce, c’est ce week-end !

La Ville organisait une réunion publique sur le thème de la sécurité, en présence du brigadier-chef de la police municipale et du capitaine de la police nationale.

- Cédric Simon-lorière

Une réunion sur la sécurité s’est tenue mardi 7 novembre à la salle du Vieux-marché. Un bilan présenté par Gilles Curti, le premier adjoint en charge du dossier. « Les vols de véhicules sur la commune pour l’année 2017 sont au nombre de 9 », annonce-t-il. Pour les autres vols, le chiffre s’élève à 40 dont 32 par effraction. Douze dégradatio­ns diverses sont également à déplorer.

31 contrôles de vitesse

Du côté de la route, il y a eu en 2017, 31 contrôles de vitesse et 4 verbalisat­ions. « L’équipe reste sur place une demiheure car avec des applicatio­ns telles que Waze, elle est vite repérée », précise-t-il. Seize véhicules ont aussi été placés en fourrière cette année. Dans les zones bleues où les équipes passent deux fois par semaine, il y a eu 128 verbalisat­ions alors que la première demi-heure est gratuite avec le disque.

Au sujet du dispositif Voisins vigilants, les effectifs sont passés cette année à 24 personnes. « Peut mieux faire », juge l’adjoint à la sécurité. « C’est une manière simple de participer à la sécurité de la ville. Cet été par exemple, nous avons réussi à éviter un grand nombre de cambriolag­es. Il n’y en a eu que deux pendant cette période. Le réflexe à avoir si vous constatez des faits qui semblent relever de la police est de composer le 17 », rappelle Gilles Curti. L’opération Tranquilli­té absence quant à elle, affiche 21 inscrits. « En prenant des précaution­s cela permet d’améliorer les choses. Et pour cela, il suffit de s’inscrire auprès de la police municipale », ajoute le premier adjoint.

15 caméras de vidéoprote­ction

Question caméras de vidéoprote­ction, elles sont au nombre de 15 et une caméra nomade vient d’être mise en place. « Elle est utilisée pour surveiller un lieu où il y a des incivilité­s », précise-t-il. Et notamment un secteur où les dépôts sauvages sont monnaie courante. « Comment cela fonctionne-t-il ? Vous regardez les images en cas de plainte ? », demande un participan­t. « Suite à un événement, nous demandons les images. Il n’y a pas d’opérateur en direct. Nous faisons les recherches sur les bandes lorsqu’une plainte est déposée », répond Francis Suter, le brigadier-chef principal. « Quelle est la procédure pour signaler un délit ? », demande un autre. « Vous pouvez le faire directemen­t sur le site de la mairie avec le lieu, l’horaire et la date », répond l’adjoint.

L’hiver : une période sensible

« Rue Charles-de-gaulle, les riverains se plaignent de la présence de camions dépassant les 3,5 tonnes avec des vitesses excessives. Le commissari­at de Versailles pourrait-il y faire des contrôles ? », demande Jacques Bellier, le maire de la ville. Une demande que Sébastien Emé, le capitaine de police, s’est engagé à faire suivre. « Méfiez-vous des vols par de faux agents des eaux qui laissent la place à de faux policiers. Une équipe tourne actuelleme­nt », prévient ce dernier. « L’hiver est une période sensible, il fait nuit plus tôt et avec les fêtes, les maisons sont pleines de cadeaux », complète Gilles Curti.

La Chorale des disparues et La Loi du silence sont disponible­s aux éditions Amalthées, en librairie ou sur Internet, 21,90 € le volume.

■PRATIQUE Rencontre littéraire autour d’un petit-déjeuner avec Emma Calisti, samedi 18 novembre, à 10h30. Entrée libre, salle Icare, 3 place Bernard-dautier.

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(De g. à dr.) Francis Suter, le brigadier-chef principal de la police municipale, Sébastien Emé, le capitaine de la police nationale et Gilles Curti, le premier adjoint.

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