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L’épicerie participative sur les bons rails
Le projet tient ses promesses. Avec 45 familles adhérentes, l’épicerie participative L’epi du Routoir est sur les bons rails. « Nous nous étions fixés une cinquantaine d’adhérents au début de l’hiver, après avoir ouvert nos portes fin septembre. Nous devrions atteindre rapidement 75 familles adhérentes, notre capacité maximum » , explique Noémie, trésorière de la structure.
Une centaine de produits sont disponibles lors des trois distributions hebdomadaires. L’épi du Routoir est installé dans les locaux de la boulangerie, 19, place Cendrillon. « Karine, la propriétaire, a accepté de nous héberger. Le concept lui plaît beaucoup et être ici nous permet de distribuer en centre-ville » , note Lionel, adhérent de l’épicerie. L’association Régal porte ce projet collectif, possible grâce aux deux heures mensuelles que donne chaque adhérent. Ceux-ci participent aux distributions, vont chercher des produits chez les fournisseurs, souvent locaux. Ils animeront aussi bientôt des ateliers. Des stages de tricot et de fabrication de produits ménagers sont annoncés.
PRATIQUE Conditions : Adhérer à Régal (libre participation), puis à l’epi du Routoir : 10 ou 30 euros par an.
Moment solennel au Théâtre Espace Coluche. Mercredi dernier, les lauréats plaisirois du brevet et du bac 2017 se sont vu remettre officiellement leurs diplômes des mains de la maire Joséphine Kollmannsberger.
Cerise sur le gâteau, les 150 bacheliers ont reçu de la Ville 40 euros de bons cadeaux, et les 400 lauréats du brevet, 30 euros. « C’est un beau geste de la municipalité. On va essayer de les dépenser à bon escient, peut-être dans des vêtements, racontent Elsa et Manon, passés par le collège de la Clef de Saint-pierre à Elancourt. « Cela fait un truc en plus. On a fait quatre ans de collège. C’est cool qu’il y ait quelque chose à la fin » , ajoute leur camarade, Antoine, qui a réussi à obtenir une mention Très bien à son brevet avec la note de 380 sur 400. « Je m’y attendais par rapport aux résultats que j’avais eus durant l’année » , précise le jeune âgé de 15 ans, actuellement en seconde au lycée Jean-vilar.