Un trio féminin en concert à l’église

La saison musicale des Amis de l’orgue de Coignières reprend ce dimanche 11 février. A 17h, l’église Saint-germain d’auxerre accueillera un concert de Fiamma e Foco. Ce trio féminin, breton par ses origines (Brest, Quimper), propose des oeuvres du répertoire baroque italien des XVIIE et XVIIIE siècles. Aux côtés des compositeurs célèbres (Monteverdi, Frescobaldi, Vivaldi…), le public pourra en découvrir d’autres comme Mainerio, Valente, ou Ariosti.

La soprano Jeanne Crousaud sera accompagnée par Marta Gliozzi à l’orgue et Élodie Bouleftour qui jouera de la flûte à bec et de la cornemuse.

■PRATIQUE Dimanche 11 février, à 17h, à l’église Saintgermain d’auxerre. Entrée et participation libres. Eglise chauffée. Rens. au 01 34 61 91 86. http://orgue.coignieres. free.fr/

« Avec mon mari, après être allé sur des circuits comme les 24 Heures et le Bol d’or, ça nous a donné envie de monter notre propre équipe. » L’association Vero, qui organise des entraînements sur circuit, est née en 2012. Avant l’équipe sportive quelques années plus tard. « En 2015, je me suis mise à chercher des sponsors. Puis on a trouvé ce qu’il fallait ». Team Vero est né. Les initiales : Vitesse - Endurance - Roulage - Organisation, mais aussi et surtout le prénom de sa fondatrice. « Sur les circuits, tout le monde m’appelle Véro. Si j’avais pris le nom d’une association lambda, on n’aurait pas fait le rapprochement entre mon prénom et la moto. »

Le but : faire rouler de jeunes pilotes, habitués de Promosport, sur des épreuves de course de vitesse, mais qui n’ont encore jamais pris part aux 24 Heures. « On repart cette année avec deux motos neuves, quatre pilotes et 22 personnes qui suivent derrière », précise Véronique.

Mais pas l’assurance d’être retenus. Ce ne fut d’ailleurs pas le cas l’année dernière. Car le Team Vero concourt dans le cadre des championnats du monde d’endurance, où seules les écuries participant aux cinq courses de la saison sont qualifiées d’office pour aller au Mans. « On est une petite équipe de passionnés, sans pilote de renom et où tout le monde est bénévole, donc on a moins de chances d’être pris », explique Véronique Mondy, elle-même secrétaire au sein de l’atelier de mécanique de son mari.

Faire rouler de jeunes pilotes