Toutes les Nouvelles (Versailles / Saint-Quentin-en-Yvelines)
« C’EST PLUS RAPIDE »
Si la technologie n’est pas du goût de tout le monde, beaucoup d’utilisateurs reconnaissent la praticité du procédé désormais offert aux Versaillais pour payer leur stationnement. « Si l’on a au préalable téléchargé l’application, c’est vraiment très rapide, note Elodie. Il n’y a plus à courir à l’horodateur. Je me sers de Paybyphone. L’application garde mon immatriculation en mémoire et mes coordonnées bancaires. En deux secondes, c’est fait. Et ce que je trouve pratique aussi, c’est que si je reviens plus tôt que prévu, je peux arrêter le stationnement et donc payer moins que prévu. »
Pour ce Versaillais retraité, le manque du petit ticket à apposer sur le pare-brise s’est révélé un peu « difficile au début ». « On a toujours peur que cela ne fonctionne et de se faire verbaliser. Mais jusque-là, ça va ! » Ce que confirme un ASVP : « Parfois, les gens nous croisent dans la rue et nous demandent de vérifier sur notre machine que leur abonnement est bien enregistré. Car ils n’ont plus de carte à apposer sur le pare-brise. »
« Pour moi qui suis assez tête en l’air, c’est bien, témoigne Marc, résidant dans le quartier Notre-dame. Par le passé, il m’était arrivé d’oublier de mettre ma carte de stationnement. Maintenant, ce n’est plus la peine. »
« Il faut quand même savoir maîtriser tous ces nouveaux outils, ce n’est pas évident, indique Paule. Moi je n’ai pas de super téléphone, je continue à aller à l’horodateur. Il faut quand même que je me concentre pour entrer la plaque d’immatriculation. Mais maintenant au moins, je la connais par coeur ! »
recul, de la distance avec la douleur. Le corps est atteint mais pas la tête », explique-telle. La jeune fille ne veut pas prendre d’antidouleur pour « ne pas se transformer en zombie ». Elle fait également au moins une heure de sport par jour.
« Prendre du recul sur la douleur »
L’écriture du livre lui a permis de « se décharger » mais aussi d’aider les femmes touchées par l’endométriose. « Ce livre permet de se rendre compte de ce qu’est l’endométriose car ce n’est pas une maladie qui se voit physiquement ». Alors que cette maladie est peu médiatisée, Julie elle n’a aucun problème pour en parler. « Tout le monde connaît au moins quelqu’un qui l’a ».
Julie prévoit déjà d’écrire un nouveau livre sur le sujet dans lequel elle parlera notamment d’’alimentation et du mode de vie à adopter au quotidien. Elle va également participer le 13 mars prochain à l’endomarche à Paris. « C’est l’occasion de partager des conseils, de surmonter la maladie ensemble ».