de Vampire Weekend (2008).
À la fin des années 2000, The Strokes, The Walkmen et autres vingtenaires stylés font revivre le rock’n’roll à New York. Vampire Weekend revendique, lui, l’héritage de Paul Simon avec un premier album homonyme qui marque la décennie. Baignée d’une lumière dorée de mystère, la pochette figure un antique lustre en passe de vaciller sous l’effet d’une énergie inconnue.