Vanity Fair (France)

JENNIFER LOPEZ

Devine qui vient dîner ?

- PIERRE GROPPO

La from bomba the Block latina », continue ne traîne à faire plus des dans émules. le Bronx, JLo, alias hormis « Jenny dans ses clips. Pour la trouver, direction Las Vegas : la chanteusea­ctrice-danseuse-productric­e met régulièrem­ent le feu à la déjà caniculair­e capitale du jeu avec « All I Have », un spectacle de quatre-vingt-dix minutes qui fait les belles heures de l’Axis Theater depuis 2016. De quoi attirer l’attention de Paul Marciano, fondateur de la marque de prêt-à-porter Guess et expert en égéries sensationn­elles pour ses campagnes publicitai­res. Claudia Schiffer, Eva Herzigova, Laetitia Casta, Paris Hilton ou encore Bella Hadid se sont toutes prêtées au jeu de cette dolce vita californie­nne, où les filles ont des formes et le sourire aux lèvres. De la sensualité, de la beauté et, pourquoi pas, une pointe d’humour : depuis trente ans, la sororité Guess baigne le monde de la mode de son aura au glam’ hautement hollywoodi­en. Pourtant, Paul Marciano avait encore un rêve, et ce rêve s’appelait JLo. « C’est une superstar tellement hors norme que je ne pensais pas pouvoir le réaliser, confie-t-il. Je suis allé chez elle, à Bel Air, avec tous les catalogues et campagnes que j’ai faits. Mais avant que je puisse lui montrer quoi que ce soit, elle m’avait tout décrit – elle connaissai­t tout ou presque depuis le début. » Ni une ni deux, en route pour une séance photo dans la pure tradition Guess. Avec un bonus : la dame, qui n’est pas mannequin, prouve droit dans les yeux que 49 ans, c’est peut-être le nouvel âge de la volupté. Paul Marciano, que l’on savait expert en jolies plantes et que l’on découvre féru de fleurs, la compare aux roses Double Delight. « Elles sont aussi belles que parfumées. Elles sont insaisissa­bles et leurs facettes, comme chez JLo, surprennen­t tous ceux qui se décident à les explorer. » —

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P H OTO G R A P H I E

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