Var-Matin (Brignoles / Le Luc / Saint-Maximin)
« sièges supplémentaires en saison »
Le bilan vous satisfait-il ? Nous sommes ravis de la confiance dont nous témoignent les compagnies. Actuellement, nous avons le plaisir d’opérer une saison plus étendue entre avril et octobre avec une offre de sièges supplémentaires ! De plus, nous améliorons la qualité de services aux passagers en développant l’offre des commerces : restaurant et boutique agrandis… Et, pour la saison estivale, la salle d’embarquement disposera d’un salon cosy. J’ajoute que la reprise de l’aviation d’affaires, depuis janvier dernier, est un beau challenge. Nous sommes fiers d’ajouter ce nouveau terminal au sein de notre réseau.
Qu’en est-il de vos relations avec les collectivités locales ? Nous travaillons en étroite collaboration et participons à des comités pour construire l’avenir, conscients des enjeux de chacun pour le développement du Var.
D’autres projets pour cette année ? Nous souhaitons privilégier le trafic qui a du sens par rapport au développement du territoire. Nos priorités sont les suivantes : pérenniser le réseau existant et travailler avec les compagnies aériennes pour ouvrir de nouvelles lignes régulières, développer l’aviation d’affaires et les lignes charters, être connecté à un hub pour relier le monde entier grâce aux correspondances. Nous avons, d’ailleurs, créé un questionnaire digital pour étudier le potentiel d’une ligne depuis et vers ParisCharles-de-Gaulle, en collaboration avec Toulon Provence Méditerranée. Les clients peuvent y participer jusqu’au avril en se connectant sur www.toulon-paris-cdg.fr
Quel est l’effectif du personnel à Hyères? Quatre-vingt-quatre personnes travaillent au sein de la société d’exploitation de l’aéroport Toulon-Hyères. Plusieurs commerces sont installés sur notre plateforme. Ils représentent donc de nombreux emplois qui ont un impact économique fort sur la zone d’activité du Palyvestre. Qu’en est-il de la réfection de la piste attendue depuis longtemps ? Le démarrage des travaux est reporté pour le moment. En effet, les travaux nécessitent la finalisation d’études complexes, des autorisations et une planification du projet en phase avec les nécessités et les contraintes de l’aéroport. C’est complexe, mais nous y travaillons d’arrache-pied !