Épicé à souhait !

À cinq journées du terme de la phase régulière, les Toulonnaises débutent à Dijon leur sprint final pour les play-offs

Le printemps est arrivé. Et avec lui son lot de rencontres à enjeu. Cette année encore plus qu’avant peut-être, tant ce championnat réserve des surprises. Seul Metz semble, aujourd’hui, bien campé dans sa position de leader. Pour les autres, rien n’est joué.

Quasiment au complet

Cet après-midi à Dijon (15h30), c’est bien un match « capital » qui attend ainsi les joueuses de Thierry Vincent. « Personne n’est sorti de l’auberge, illustre le manager toulonnais. C’est tout bête, mais si on gagne à Dijon, on les relègue à deux longueurs en empochant de plus le goal-average particulier (les deux équipes avaient fait match nul à l’aller, 20-20, N.D.L.R.). Et ça nous permettrait de ne pas traîner notre défaite face à Chambray (22-27) trop longtemps. » Le plus tôt sera le mieux, en effet. Car à cinq journées de la fin - et quatre matches à jouer pour le TSCV (viendront (E ensuite les réceptions de Besançon et Brest ainsi qu’un déplacement à Nantes) - un faux pas face à un concurrent direct pourrait s’avérer fatal. Pour éviter cette mésaventure, le staff pourra s’appuyer sur un Aujourd'hui au Palais des sports Michel Geoffroy Dijon Toulon/Saint-Cyr groupe quasiment au complet. Seule Bettacchini (genou) manque à l’appel. Du coup, Thierry Vincent a dû faire des choix. Et il s’en réjouit. « Cela doit faire deux ans et demi que je n’avais pas eu autant de monde en capacité de jouer. C’est dur pour celles qui ne sont pas retenues, mais c’est un plaisir pour le coach. Je peux aligner le groupe le plus performant possible. » Au meilleur des moments. 1. En cas d’égalité de points à l’issue de la saison régulière, la différence se fera au goal-average particulier.

(Photo Patrick Blanchard) Journée  Les Toulonnaises peuvent désormais compter sur Hanna Fogelström. De bon augure au moment d’aborder le sprint final.