Qui est-elle ?

Mariée et mère de trois enfants, elle habite Carcès depuis . Retraitée de la fonction publique territoriale, elle a exercé plusieurs fonctions dans différents domaines, parmi lesquels : Inspecteur de tarification au service de l’aide sociale à l’enfance, responsable du service économie emploi de la commune de Velaux, moniteur d’EPS dans les écoles primaires ou encore directrice d’un centre de loisirs.

Parce que l’autre, c’est nous. C’est l’humain. L’échéance est courte : on a trois semaines. Mais on va mouiller le maillot. Je pense que le vote FN va à terme diminuer dans le secteur. Il faut éveiller les consciences pour que les gens se reprennent en main. Plutôt que d’être dans la haine et dans l’exclusion de l’autre, il faut avancer ensemble. Nous sommes dans une région touristique. C’est quand même paradoxal qu’on invite les étrangers à rester chez eux… L’accueil se prépare par l’investissement, mais il commence simplement par un sourire ! On n’avance pas dans la haine. On se ferme, et on recule. Le dialogue, la communication, l’empathie, l’écoute : il va falloir développer tout cela pendant notre campagne.

Vous venez d’annoncer votre candidature. Comment allezvous mener votre campagne dans les jours qui viennent ? Nous avons plusieurs groupes d’appui qui vont se concentrer sur de la communication de proximité, avec du tractage sur les marchés, les vide-greniers, etc. Avec mon suppléant, nous allons nous déplacer sur une série de manifestations. Nous allons également aller à la rencontre de différentes organisations comme la Confédération paysanne ou la Fédération des vignerons indépendants. Tenter d’instaurer un dialogue à la fois auprès des citoyens comme des mouvements syndicaux. Nous allons organiser des assemblées citoyennes dans différents lieux du territoire. Allez au contact en somme ! On est confiants, on y croit ! Je mettrai toutes mes forces dans la bataille. Même si je n’ai pas d’expérience politique, j’ai la foi dans ce que je fais et dans ce que je dis.