Var-Matin (Brignoles / Le Luc / Saint-Maximin)
L’Alat recrute dans plusieurs métiers
Cette année, l’Alat doit recruter une quarantaine d’officiers, plus de 200 sous-officiers et environ 80 militaires du rang. Petit tour d’horizon des métiers
O
n les aperçoit dans l’azur. Seul ou parfois en formation. Depuis le sol, certains initiés arrivent à distinguer le Tigre, la Gazelle, le Caïman... D’autres savent que leur base est au Cannet-des-Maures. Les hélicoptères de l’Ecole de l’Aviation légère de l’armée de Terre (EAlat) captent aussi l’attention des plus jeunes. Avec l’espoir peut-être de piloter un jour ces appareils. Ou de veiller sur leur bon fonctionnement, d’assurer leur sécurité, de concourir au bon déroulement de leur vol. De nombreux métiers, du personnel navigant à celui au sol, accessibles au plus grand nombre. Et l’offre de recrutement de l’Alat est très large cette année: une quarantaine d’officiers toutes spécialités confondues, plus de sous-officiers et environ militaires du rang. Avec un bac en poche et une grande motivation, il est possible d’accéder à ces postes après avoir passé des évaluations psychotechniques et médicales, et suivi formations militaires et spécifiques. Tests, stages, examens se succèdent avec rigueur pour intégrer les écoles de l’Alat ou les régiments de combat. À titre d’exemple, trois militaires témoignent de leur engagement avec des dénominateurs communs : passion et implication. Et la volonté affirmée de saisir les perspectives professionnelles, de poursuivre leur carrière militaire en France comme à l’étranger sur le théâtre des opérations extérieures.