‘‘ C’était plus compliqué avec Serdarusic...”

Oui c’est un peu ça. Quand il est arrivé j’ai fait un super début de saison... Après, j’ai eu une blessure qui m’a éloigné des terrains. C’est un entraîneur qui joue avec huit joueurs, il ne fait pas tourner du tout... Du coup c’est difficile quand tu ne rentres pas dans ces septhuit joueurs. C’est un peu déconcertant et c’est pour ça que j’avais aussi envie de partir.

À Saint-Raphaël, vous allez jouer à un poste où figure déjà Adrien Dipanda. Estce un problème ? Sûrement pas (rires) ! D’avoir deux internationaux français à un poste, à mon avis, c’est loin d’être un problème. « Dip » est de ma génération, c’est un copain. Je pense que l’on est complémentaires. On n’a pas le même jeu. En plus, de ce que j’ai vu, Joël Da Silva fait bien tourner donc ça ne peut qu’être positif d’avoir deux joueurs à chaque poste sur toute une saison.

Dans quel état physique et mental êtes-vous aujourd’hui ? Je ne ressens plus rien au genou (il a été victime d’une rupture du ligament croisé en , Ndlr). J’imagine qu’il va falloir un peu de temps pour retrouver les sensations car j’ai eu peu de temps de jeu la saison dernière. En tout cas, j’ai les dents longues, j’ai envie de faire du mieux possible cette année. Quand j’étais venu ici, j’avais été blessé et je suis un peu revanchard à ce titre pour essayer de faire mieux avec Saint-Raphaël.

En plus, vous n’êtes pas loin de chez vous... Exactement. J’ai ma famille et les amis qui sont sur Nice, ma femme est d’Hyères donc on est entre les deux. J’ai tous les ingrédients et l’environnement pour moi. J’espère que ça va bien se passer.