Mettre l’humain au coeur de l’entreprise

Un des temps forts sera l’intervention à  heures du conférencier, Stéphane Mallard qui fera voler en éclats toutes les idées reçues pour permettre à chacun d’être acteur de cette révolution. «L’entreprise peut s’adapter, se transformer et en tirer des bénéfices en mettant l’humain au coeur», insiste le conférencier, Vincent Maignier. Ce ne sont pas Ludovic Martin Saint Leon, directeur chez Emoa Mutuelle du Var, et Pierre Fridrici, directeur chez Imprimerie Dullac, deux des sponsors de l’opération, avec le soutien notamment de la ville de Toulon, qui le démentiront.

Parmi les nouveautés, la parole donnée aux dirigeants. Six chefs d’entreprises à la tête de start-ups ou d’entreprises plus traditionnelles, raconteront leur histoire, leurs réussites tous comme leurs échecs sur : le financement participatif, la levée de fonds, de la réalité au virtuel, le digital, moteur de croissance, le manager à l’heure du digital. « Nous avons souhaité réduire le nombre d’ateliers en privilégiant un format de workshop et en incitant notamment les chefs d’entreprise à travailler ensemble, à se créer de nouveaux contacts...», explique Laurence Neid, responsable marketing.

Le dirigeant pourra, aussi, capter de nouveaux contacts autour d’un «c afé réseau », bénéficier de retours d’expériences et saisir des opportunités au travers des clubs et réseaux de dirigeants varois, ou encore se plonger dans l’univers studieux et convivial d’un espace de travail collaboratif, le coworking Var.

Pour ne pas rendre les choses un peu trop inquiétantes pour les entrepreneurs et les salariés, il importe d’anticiper. Ces emplois qui, peutêtre demain, risquent de disparaître avec cette intelligence artificielle, vont se transformer vers des emplois à forte valeur ajoutée. Anticiper, c’est ne pas subir.»

La force du collectif

Cet événement tire sa force « dans une logique de mise en réseau » d’acteurs socioéconomiques de l’ensemble de la région. « Cette intelligence collective, de territoire, fait qu’aujourd’hui, on se rend bien compte que, seules, les structures n’arriveront