«On serre les fesses»

a pesé mais nous n’avons pas lâché c’est ce qu’il faut retenir », poursuitelle. À retenir le gros match de Canolle en attaque (8 buts), le retour aux affaires d’une Genest prise en individuelle stricte dans les moments chauds et la prise de responsabilité de Khouja… Un collectif est en train de naître. Il a fallu digérer le départ au Cambodge de Marie-Alice Duriau qui n’était pas prévu et l’absence d’Iribarren. Le temps va jouer pour les Gardéennes qui, à partir de début octobre, disposeront alors de toutes les armes dont Thiero. D’ici là, il faut faire le dos rond… Comment se passe le début de saison ? C’est compliqué, car on a six joueurs blessés ou convalescents, et que l’on ne récupérera pas avant fin octobre pour la plupart (Goulet, T. et C. Allouche, Laffond, Belmondo, Kogler). Du coup, pas mal de gars ne jouent pas à leurs postes. On serre les fesses...

Vous avez pourtant gagné votre premier match (victoire à Marseille -)... On est derrière au score les trois-quarts du match et, grâce à un élan de générosité, on est passé devant dans les dix dernières minutes. C’est passé juste. On est dans une grosse poule, avec des formations considérablement renforcées comme Monaco, Antibes, Ajaccio. Tous les week-ends, ça va être gros match. Par exemple samedi, où on reçoit Saint-Raphaël. Comme l’an dernier, on vise la meilleure place du top .