Les cinq prochaines années

Le Programme urbain global permet de traiter de manière transversale et concomitante quatre thématiques :

Avec notamment la réhabilitation du musée d’Art et d’histoire (pour 6,6M€), le label Pays d’art et d’histoire et la valorisation des sentiers de randonnée. Avec la signature d’un contrat de revitalisation artisanal et commercial (voir par ailleurs). Cet outil d’intervention permet à la ville de missionner un opérateur qui achètera des cellules commerciales vacantes du centre ancien afin d’exercer un remembrement dans la perspective d’y installer de grandes enseignes. Autre cheval de bataille : la redynamisation de l’activité commerciale dans le coeur de ville. Car là aussi, la situation est devenue plus que préoccupante. « Entre   et   m de surfaces commerciales sont actuellement inoccupées », indique Frédéric Marcel. Pour stopper cette hémorragie les élus ont décidé de signer un contrat de revitalisation artisanal et commercial avec un opérateur privé. Cet organisme sera chargé de remembrer les cellules vacantes afin de disposer de larges surfaces commerciales pour inciter les grandes enseignes à s’y installer. Là encore, l’opérateur interviendra pour faire passer l’intérêt public avant celui du privé. Une enveloppe de   euros devrait être débloquée pour favoriser ce processus. Notamment pour l’acquisition de biens immobiliers (au prix fixé par les Domaines) et pour leur réagencement. Au total, huit emplacements commerciaux sont dans le collimateur de la ville. Ces derniers, localisés boulevards Clemenceau, Foch, rues République, Cisson et place du Marché, sont pressentis pour accueillir des enseignes spécialisées notamment dans les domaines de la culture, des loisirs et de la personne.