Var-Matin (Brignoles / Le Luc / Saint-Maximin)

‘‘ On verra ce qu’il me reste comme forces”

- PROPOS RECUEILLIS PAR TONY DAVID

C’est ma première victoire. À l’époque, le Roc d’Azur servait encore de support à la coupe de France. J’étais junior première année, c’est ma première victoire au niveau national. Après, j’ai gagné en , lors de ma deuxième année junior.

C’est une course que vous aviez découvert plus jeune... Avant mes débuts en compétitio­n, en , je venais spécialeme­nt des Vosges avec mes parents pour le Roc d’Azur. Et après, je suis toujours revenu quand j’ai progressé, j’ai intégré des structures profession­nelles... Il fallait venir sur le Roc absolument. Et depuis quelque temps j’habite sur place... Mais de toute façon, même si je n’habitais pas sur place, je serais présent.

Avec le recul, trouvez-vous que le Roc d’Azur et le VTT ont évolué ? Le VTT a évolué effectivem­ent. Maintenant, ce que l’on pratique en coupe du monde est assez éloigné du parcours proposé au Roc d’Azur. Ici, c’est un parcours de type marathon avec une grande boucle, accessible à tout le monde. C’est ce qui fait le succès du Roc. C’est un format de course différent de ce que l’on a en coupe du monde. Après, ce qui a évolué, c’est l’ampleur du Roc d’Azur. D’année en année il grossit, en terme de participan­ts et de visiteurs. Depuis qu’ASO a repris l’organisati­on, la médiatisat­ion est plus importante. Ils ont plus de pouvoir que d’autres organisate­urs on va dire. Le Roc a changé et a surtout grossi.

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