Le film de la semaine

Notre avis :

L’histoire

2045. Le monde est au bord du chaos. Les êtres humains se réfugient dans l’Oasis, univers virtuel mis au point par le brillant et excentrique James Halliday (Mark Rylance). Avant de disparaître, celui-ci a décidé de léguer son immense fortune à quiconque découvrira l’Easter Egg numérique qu’il a pris soin de dissimuler dans la simulation. L’appât du gain provoque une compétition planétaire. Mais lorsqu’un jeune garçon, Wade Watts (Tye Sheridan), qui n’a pourtant pas le profil d’un héros, décide de participer à la chasse au trésor, il est plongé dans un monde parallèle à la fois mystérieux et inquiétant.

Notre avis

Moins de deux mois après la sortie du documenté Pentagon Papers, Steven Spielberg revient à un autre de ses amours, la sciencefiction, histoire de démontrer une énième fois qu’il reste le maître du divertissement. La superproduction, menée tambour battant, est

L’histoire

Une plongée au coeur de l’Océan pour découvrir, comprendre, aimer un monde encore mystérieux et surprenant.

Notre avis

Le label DisneyNature, initié par le directeur de la branche française de la boîte à Mickey Jean-François Camilleri poursuit son tour du globe. Ce voyage marin en compagnie de Blue, un dauphin de trois ans, améliore la formule en arrivant à allier le côté pédagogique indispensable à ce genre de production au e art, avec des plans majestueux. Un feu d’artifice de couleurs, des ballets de poissons, des attaques d’orques, de requins, du corail fluorescent à la tombée de la nuit. Sur grand écran, le public en prend plein les yeux. Les plans larges nous propulsent dans l’immensité des profondeurs s’alternent alors que les prises plus rapprochées font surgir l’émotion de la faune aquatique. Blue, a le bon goût de laisser au second plan l’histoire et de ne pas chercher outre mesure à nous conter un énième voyage initiatique. L’idée est davantage de nous expliquer le mode de vie, la chaîne alimentaire et l’équilibre nécessaire à la survie de chaque espèce. La voix off assurée par Cécile de France, est parfaitement dosée et laisse à bon escient parler les images. Idem pour la musique qui souligne les phases par lesquelles passe le mammifère, de l’insouciance à la peur. Plus qu’un tour de force technique, la virée est taillée pour séduire petits et grands… et n’oublie pas, Disney oblige, d’y aller de son petit couplet sur la nécessité dans ce monde de laisser ses différends de côté pour aller vers la solidarité.