Var-Matin (Brignoles / Le Luc / Saint-Maximin)
Un calendrier pas si évident...
Sandor Rac aura le choix
Malgré quelques alertes (Bettacchini, Vetkova), la semaine toulonnaise s’est déroulée sans accroc niveau blessure. Sandor Rac aura donc le choix au moment de composer son équipe. Seules Jurisic (genou) et Gaudefroy (genou également) manquent à l’appel.
Un joker médical au Havre
Les Havraises pourront compter sur l’internationale brésilienne Carolline Dias Minto pour les play-downs. Peu utilisée à Fleury (/ aux tirs en rencontres), l’arrière de ans permettra à Roch Bedos de compter une rotation de plus dans un secteur appauvri après la blessure de Malta Varela. Les Toulonnaises ont tout intérêt à gagner leur première rencontre des play-downs ce soir face au Havre. Surtout à domicile. Car dans le cas contraire, les choses pourraient vite devenir compliquées. Après la réception des Normandes, les ReBelles vont en effet enchaîner par trois déplacements consécutifs (à Bourg-de-Péage le 21 avril, à Dijon le 26 puis au Havre le 13 mai). Elles termineront donc par deux réceptions (Bourg-de-Péage le 18 mai et Dijon le 25). « Si on peut éviter d’attendre les deux dernières rencontres pour officialiser le maintien, c’est mieux, souffle Sandor Rac. Cela éviterait du stress. »
Au milieu, la finale à Bercy
D’autant plus qu’entre les déplacements à Dijon et au Havre, les Varoises auront une finale de coupe de France à jouer face à Brest. « Autant la demi-finale victorieuse face à Nice doit nous servir de rampe de lancement pour le début des play-downs, autant je compte sur ces rencontres pour aborder en confiance la finale de Bercy, continue l’entraîneur. C’est pourquoi j’espère qu’on décrochera vite ces deux victoires qui devraient nous suffire pour le maintien. » La première ce soir serait idéale. La seconde dès le voyage à Bourg-de-Péage ? Possible, d’autant plus que la rencontre pourrait se jouer à huis clos, le club drômois ayant été sanctionné par la commission de discipline de la Fédération française de handball après une fin de match houleuse face à Fleury (18e journée, 29-29). Mais Bourg-de-Page a fait appel de la sanction de trois matches à huis clos, dont deux avec sursis.