Var-Matin (Brignoles / Le Luc / Saint-Maximin)
Un suivi connecté du patient
« Notre volonté est de renforcer les liens entre ville et hôpital, insiste Dominique Charniguet, directeur des soins de l’hôpital privé Arnault Tzanck Mougins. A ce titre, nous avons lancé en une plateforme de coordination en chirurgie ambulatoire. Pour mieux impliquer le patient, nous avons mis « Une question est posée, celle de l’utilisation de nos produits de phytothérapie en première intention. Et pas seulement en alternative, introduit le Dr Pierre Bruel, directeur des laboratoires Arkopharma. C’est une médecine qui s’intéresse à l’homme, qui l’aide à chercher les ressources au fond de lui-même, avec une efficacité supérieure à un certain nombre d’actifs chimiques. En , nous avons lancé un probiotique, qui est aujourd’hui le plus dosé, le plus documenté au plan mondial. Nous avons aussi lancé un produit en gastroentérologie en place un suivi connecté. Une application smartphone et un portail Web permettent ainsi la protocolisation et le suivi de toutes les étapes de la prise en charge du patient. L’institut Tzanck Mougins de son côté bénéficie d’alertes en cas de complication ; la relation patient-soignant est consolidée grâce à ce suivi connecté.» Actuellement proposé dans le cadre de la RAAC, ce dispositif devrait bientôt être élargi à la cancérologie, confrontée à la problématique d’observance pour les thérapeutiques orales. pour combattre le reflux, il est sans excipient chimique, sans conservateur. sera l’année de l’internationalisation. L’idée d’ArkoPharma est de fournir un outil thérapeutique différent, une alternative aux thérapeutiques traditionnelles, au bénéfice du patient et de son mieux-être. » « Dans le passé, en , à l’inauguration de l’IMS, nous avons été confrontés au problème de l’application de la TA (Tarification à l’activité). Cela a questionné nos pratiques professionnelles. Nous sommes donc partis d’une contrainte financière et on a implémenté un logiciel pour pouvoir communiquer avec la CPAM et échanger les données, résume le Dr Philippe Ballerio, directeur médical de l’IMS. La deuxième étape, qui est en train de se terminer, c’est l’implémentation du progiciel médical qui s’appelle Evolucare. Il nous a permis entre autre de sécuriser le circuit de distribution du médicament. Enfin, les réorganisations à opérer pour l’avenir sont liées au développement de l’ambulatoire. Sur Monaco, nous allons également développer le portail de e-santé. Le territoire certes est restreint mais c’est important parce que cela va mettre en corrélation la ville, l’hôpital, le secteur privé.»