Var-Matin (Brignoles / Le Luc / Saint-Maximin)
Arte lance la saison des festivals
On ne pourra pas aller écouter de la musique en festival cet été... Eh bien Arte a pris l’excellente initiative de diffuser (sur arteconcert.com), dès le mois de mai et durant tout l’été, des captations emblématiques de festivals à travers toute l’Europe, mais aussi d’imaginer de nouveaux formats avec la complicité d’organisateurs de ces grands rassemblements. Coup d’envoi, dès le mercredi mai, avec Nuits Sonores à Lyon et une vingtaine de concerts : DJ Sodeyama, Marie Davidson, Alessandro Cortini, Lena Wilikens… Puis, du vendredi au dimanche juin, Arte proposera un festival en ligne entièrement conçu avec l’équipe du Hellfest (Clisson). À l’affiche : quinze concerts par jour enregistrés les années passées. Avec Apocalyptica, Lamb of Gold, Deep Purple, Sepultura, Scorpions, In Flames… Découvrez également, sur l’antenne d’Arte cette fois, les meilleurs moments de l’édition le vendredi juin, ainsi que le programme inédit Hellfest, quinze ans de bruit et de fureur, le vendredi juin à h . En juillet, les amateurs d’opéra pourront retrouver certaines des captations historiques du Festival d’Aix-en-Provence, ainsi que deux productions de l’été , Tosca et Grandeur et décadence Tout au long de l’été, Arte marquera également son soutien au Festival d’Avignon en mettant à l’honneur plusieurs mises en scène inoubliables de ces dernières années, dont le magistral Richard III signé Thomas Ostermeier. Et vous permettra de revivre des moments forts des précédentes éditions des Nuits de Fourvière à Lyon, des Eurockéennes de Belfort, de Rio Loco à Toulouse, des Suds à Arles, du Paléo Festival à Nyon, de la Route du rock à SaintMalo, de Cabaret vert à Charleville-Mézières, sans oublier de nombreux festivals européens tels que le Hurricane Festival, Splash !, Melt, le Festival de Bayreuth en Allemagne, le Festival de Salzbourg en Autriche, ou encore le Festival de Lucerne en Suisse.
C’est de saison, forcément de saison… Le printemps c’est LA saison des allergènes. Et ce quel que soit le calendrier des pollens, celui des vents contraires. Alors quand tu sors de confinement, que tu prends une bonne bouffée d’oxygène… Tu vas invariablement, soit faire partie de ceux qui éternuent, soit te trouver nez à nez (ou plutôt masques à masques) avec celui qui en est. Du coup, Covid- oblige, l’éternuement n’est pas du meilleur effet. Suscite des réactions de recul (de plusieurs mètres), de dégoût (la moue, tu la devines sous le tissu des petits pandas qui s’agitent sur leurs bambous !), d’effroi. « Désolée, c’est allergique ! » dis-tu, quand au même moment dans leurs yeux tu lis : « Ouais c’est ça ! Allergies tu parles. » Ben si, penses-tu penaud(e), ça l’est vraiment... allergique ! K. M.