Var-Matin (Brignoles / Le Luc / Saint-Maximin)
Le point sur les lieux culturels de l’Agglo
En plus des médiathèques, Dracénie Provence Verdon gère aussi d’autres sites culturels.
La réouverture des musées de Dracénie vient de recevoir l’autorisation du préfet du département. Ces réouvertures seront progressives, encadrées, et limitées (dans un premier temps). À partir de ce jour, les deux musées de DPVA ouvriront le mercredi et le samedi, de h à h et de h à h. Au musée des ATP, seuls visiteurs simultanés pourront être présents, au musée Camos.
Le principe du “drive” qui régie l’ouverture de la médiathèque sera repris. Les prêts “à emporter” se feront les mardis et jeudis, sur rendez-vous uniquement. Les oeuvres sont visibles sur www.larto.fr. Contact : 06.12.46.65.84. ou artotheque@dracenie.com.
La reprise des cours, prévue initialement lundi mai, reste suspendue à l’autorisation préfectorale. Renseignements : 04.83.08.30.50. ou conservatoire.agglomeration@dracenie.com.
La plupart des spectacles programmés ont été reportés. Pour demander le report des places achetées (ou le remboursement), un site Internet est mis en place : remboursement.dracenie.com.
Lou, 9 ans, est du genre à dévorer les livres. Et la soeur, Zoé (13 ans) est pareil. «Onest de gros lecteurs », confirme le paternel Sébastien. Alors retrouver la possibilité de réapprovisionner le stock, c’est un véritable soulagement.
Cinquante retours : « On avait anticipé le confinement ! »
Mais avant d’emprunter, il faut rendre. « Nous avions une cinquantaine de livres au moment du confinement, sourit Sébastien. Des romans, des bandes dessinées. On avait anticipé un peu… Mais maintenant, il faut que les autres puissent en profiter. Et puis : ça prend de la place ! » D’où cette assiduité, dès le deuxième jour, devant la médiathèque. « On ne voulait pas manquer ça ! » Plus sérieusement, le papa ajoute : « C’est une très bonne chose, la réouverture. Il est important de pouvoir de nouveau avoir accès à la culture, après deux mois de confinement. » À voir les nombreux amateurs de littérature ou autre se presser au pôle Chabran, il n’est pas le seul à penser cela. Et tant mieux !