Var-Matin (Brignoles / Le Luc / Saint-Maximin)
Illégaux ou pas : les textes sont clairs
Brandissant le décret n°- du mai « relatif aux caractéristiques et aux conditions de réalisation des ralentisseurs de type dos d’âne ou de type trapézoïdal » et l’aussi captivante « norme de construction AFNOR - », l’association pour une mobilité sereine et durable martèle inlassablement qu’un ralentisseur est illégal si : sa hauteur dépasse cm sa longueur dépasse mètres moins de mètres le séparent d’un autre ralentisseur
il est installé ailleurs que sur une portion de route limitée à km/h.
il est franchi par plus de véhicules en moyenne par jour (moyenne annuelle)
il est implanté sur une voie « à grande circulation » ou supportant un trafic poids lourd supérieur à véhicules par jour
il est implanté sur une voie fréquentée par un réseau de transport public
il est implanté sur une voie desservant uncentredesecours
il se situe à moins de mètres des limites d’une agglomération ou d’une section de route à km
il peut nuire à l’écoulement des eaux
il est sur une route dont la pente fait plus de %
il est à moins de mètres d’une sortie de virage (de rayon inférieur à m) Par ailleurs, il est interdit d’implanter un passage piéton sur un dos-d'âne... mais obligatoire sur un ralentisseur de type trapézoïdal. Signé par Édouard Balladur en mai , le décret demande aux maires de mettre les « gendarmes couchés » de leur commune en conformité avec les textes... et leur donne ans au maximum pour le faire !