Var-Matin (Brignoles / Le Luc / Saint-Maximin)
La parenthèse détente
Voilà une tâche ardue que de choisir... Comme disait André Gide : « Choisir c’est renoncer. » Alors, comme il fallait bien faire un choix, on va donc renoncer à de nombreuses autres symphonies qui auraient mérité d’être dans cette playlist.
Symphonie n° , Là, le choix est facile : c’est ma préférée ! Quatre mouvements magnifiques. Et la fin du dernier mouvement est carrément un chef-d’oeuvre. Vous pouvez également écouter la troisième et, évidemment, la neuvième.
Beethoven
La Symphonie fantastique, Le compositeur décrit cette symphonie comme l’histoire d’un jeune artiste qui, s’administrant une dose non létale d’opium dans le but de soulager sa souffrance amoureuse, est en proie à une succession d’épisodes psychédéliques. C’est chaud ! Mais c’est beau.
Berlioz
Symphonie n° , Comme Beethoven, le compositeur autrichien a publié neuf symphonies. C’est la dernière,
Mahler
une sorte de testament, dans laquelle il récapitule sa vie.
Symphonie n° , Mozart en a écrit plus de cinquante ! Laquelle choisir ? La est sans doute la plus connue mais la l’est aussi et tant d’autres. Donc écoutez-en plusieurs.
Mozart
Symphonie du Nouveau monde, Considérée comme une oeuvre américaine du compositeur né à Prague, on y retrouve nonobstant les accents slaves mêlés à des émotions ressenties aux États-Unis où il fut directeur du Conservatoire national de New York. C’est une oeuvre magistrale.
Dvorák
Une nuit sur le mont Chauve, Ce n’est pas une symphonie mais un poème symphonique inspiré d’un sabbat de sorcières. Grandiose, magnifique. Walt Disney s’en servira pour sonoriser une célèbre scène de Fantasia.
Moussorgski