Constat, crainte et espoir

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Constat. Depuis « près de dix ans », des charges, correspondant aux salaires de quatre cadres (services RH et état civil, notamment), étaient imputées de manière « manifestement erronée » sur les budgets annexes « eau » et « assainissement », dégageant de manière « artificielle » une capacité d’épargne brute sur le budget principal, tandis que cela grévait la capacité d’investissement nécessaire pour rénover des réseaux vieillissants. Une « erreur » de « près de

  annuels » qui n’a, contre toute attente, jamais soulevé d’interrogations au moment des contrôles de gestion. « Les budgets ont été récrits de manière à revenir à une situation saine sur le plan comptable. »

Crainte. Saint-Maximin pourrait perdre la Dotation de solidarité urbaine (DSU), soit environ   annuels, la part de logements sociaux ( %) y étant inférieure aux  % imposés par le législateur.

« Nous pourrions également être redevables d’une amende de l’ordre de   portant la perte à plus de   .»

Espoir. Saint-Maximin parvient à maintenir un produit fiscal raisonnable malgré un potentiel restreint, essentiellement ( %) issu de l’imposition sur le foncier bâti et les droits de mutation, liés à l’attractivité du territoire. L’accroissement de la population et des produits des taxes professionnelles devrait susciter une augmentation des attributions de compensation de la part de l’agglomération.