Une longue histoire
: un syndicat des viticulteurs est créé pour porter le projet de création d’une coopérative.
: La coopérative est créée et achète le terrain au lieu-dit «le trou de Panisse». Parmi les premiers sociétaires, on note les noms de Courbebaisse, Cravéro, Ganzin et Latty…
En , sur les ha de la commune, sont couverts de vignobles et produisent hectolitres de vin.
Après avoir tourné au ralenti pendant la seconde guerre, la cave reprend du service. Une extension est réalisée en .
, la coopérative tourne à plein régime. Ce fut l’apogée de sa prospérité d’après-guerre avec hl, douze employés et deux camions de livraison.
, les registres font état de hl produits. Selon les observateurs, en vingt ans, la chute progressive des apports est liée à l’envahissement du béton, à la construction de serres horticoles, à des successions engendrant les petites surfaces, au prix du vin ou aux primes à l’arrachage
, la cave fusionne avec la coopérative de Saint-Cyr. Pour la dernière fois, la récolte pradétane est foulée sur place et vinifiée à Saint-Cyr.
Depuis la fin des années , le site ne sert plus qu’à collecter les récoltes des vignerons locaux. La vinification ne se fait plus au Pradet.
, la municipalité, alors conduite par Roland Joffre, décide de racheter la cave, considérant qu’il s’agit du patrimoine historique du Pradet. Les pourparlers avec la coopérative évoquent une somme de euros mais les responsables de la coopérative s’opposent au final à la transaction
, la coopérative de SaintCyr fusionne avec la Cadérienne.
juin , le conseil municipal prend à l’unanimité une délibération pour autoriser le maire à acheter la cave pour euros.