Ça irait mieux si...

Tout va mal. Alors qu’il suffirait de quelques machines arrières pour retrouver le droit chemin.

• Si François Fillon remboursait ses « allocations très familiales » légales mais mal perçues par ceux qui ne les touchent pas.

• Si Penelope Fillon expliquait qu’elle a démenti être l’attachée parlementaire de son mari parce qu’elle avait peur d’être ligotée dans son bureau.

• Si Manuel Valls regrettait d’avoir poussé Hollande au forfait et réintégrait Matignon pour ne pas gêner le « candidat naturel ».

• Si Emmanuel Macron reconnaissait qu’il n’est pas prêt à gouverner la France et repoussait sa candidature à .

• Si Marine Le Pen avouait qu’elle préfère le confort d’une longue opposition aux aléas d’un pouvoir très court.

• Si Jean-Luc Mélenchon retirait sa candidature en échange d’une émission humoristique à la télévision.

• Si Benoît Hamon déclarait que, toute réflexion faite, il préfère passer son tour que de se mettre à dos les copains.

• Si Alain Juppé acceptait non pas d’être une roue de secours mais le dépanneur capable de désenliser le char de l’Etat.

• Si on rappelait à François Bayrou que, depuis dix ans, il a tout raté et qu’il ne représente plus que luimême.