Var-Matin (Grand Toulon)

JEAN ROCH : « JE NE MONTERAI JAMAIS LES MARCHES »

- Textes : ALAIN GRASSET Photos : CHRISTOPHE GIRAUDEAU

Cet habitué des nuits parisienne­s, tropézienn­es, cannoises, entre autres avait-il un peu le trac mercredi soir après l’ouverture du Festival en ouvrant son VIP Room, au 50 boulevard Croisette, au pied de l’Hôtel Marriott ? Jean Roch l’avoue

avec honnêteté. « Oui, c’est toujours un pari et on se pose vraiment la question de savoir si ... Mais là, il y avait déjà beaucoup de monde, beaucoup de personnali­tés du 7é art. Et pas seulement. Parce que je considère que le Festival de Cannes est le festival de tous les arts en général. Un carrefour impression­nant où les talents doivent pouvoir s’exprimer. Cette ouverture de mercredi laisse présager de belles soirées à venir. » Le marathon cannois n’inquiète pas outre mesure un Jean Roch qui célèbre sa 17e participat­ion au Festival. « Quand on s’est lancé c’était l’époque des soirées privées et des soirées où il ne se passait rien. Et on a décidé d’inviter des gens qui apportent une dynamique complément­aire à toutes les activités proposées à Cannes. Ce qui compte, c’est que les gens se retrouvent autour d’une seule et même fête. » Quand on lui demande s’il a envie de se rendre au Palais et de monter les marches, Jean Roch s’exclame. « Jamais ! Les marches sont réservées aux acteurs, aux réalisateu­rs, etc. Pas aux touristes comme moi. Même ma femme, Anaïs, a monté les marches sans moi, il y a trois ans, pour Gris gris, qui était en compétitio­n officielle. Mais sans moi ! ». Un Jean Roch omniprésen­t à Cannes, mais aussi à Monaco où le VIP Room sera ouvert pour le GP de Formule 1. «On

va faire une énorme fête pour Lewis Hamilton en espérant qu’il remporte la course. »

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