Guy Richard (à gauche) avait la mine réjouie samedi, lors de l’assemblée.
« Pas de dépendance aux subventions », a-til prévenu. Pour préserver cette autonomie, le club mettra, par exemple, un Lagoon 440 (voilier dix personnes) en location à la journée.
Polyvalence
C’est le point sur lequel il a passé le plus de temps. Guy Richard a annoncé vouloir « développer le volet compétition et faire progresser les jeunes », « diversifier le travail des moniteurs » présents sur la base ou encore « renforcer le partenariat avec les Esat (Établissement ou service d’aide par le travail) », en offrant une séance hebdomadaire de voile aux travailleurs handicapés sur leur temps de travail. « Ce sera notre projet sociétal», a-t-il résumé.