«Traduire l’esprit familial qui anime ce projet»
Questions à Jean-Claude Conçu, directeur général
La Seyne? Jean-Claude Conçu en avait un a priori : celui de la banlieue de Toulon. S’il a renoncé au Westminster de Nice sans regrets, porté par un projet « familial », le directeur général du Grand Hôtel des Sablettes-Plages est aussi revenu sur sa première impression : «Je me sens très à l’aise ici, la mer a un côté sauvage, c’est magnifique ! »
Qu’est-ce qui vous a séduit dans ce projet ? La personnalité de Stéphane Lelièvre. Il défendait une stratégie portée par un esprit familial qui m’a convaincu.
Qu’est-ce qui va faire la particularité de l’établissement ? L’idée de traduire l’esprit familial qui anime ce projet auprès de la clientèle. On va les accompagner tout au long de leur séjour, tout en gardant la discrétion et la distance nécessaire lorsque l’on est dans un tel établissement. La distance ne veut pas dire impersonnel.
L’idée d’accompagner l’ouverture d’un établissement était-elle aussi déterminante dans votre choix ? C’est ma troisième ouverture d’établissement. Ce n’est jamais la même chose mais je commence à avoir un peu l’habitude. Il y a une certaine excitation, l’adrénaline… Tout le monde est un peu tendu, c’est normal.
L’hôtel et son restaurant, La Galerie, ouvrent mardi. Que redoutezvous le plus l’approche de cette ouverture ? Je ne redoute rien en soi, j’appréhende notre “professionnalisme” et surtout, j’espère que nous serons bien en phase avec le quartier. Est-ce que les habitants, les commerçants, vont apprécier? D’ailleurs, les commerçants sont nos invités lundi, pour appréhender notre établissement et s’inscrire à nos côtés dans cette « Destination Sablettes » que nous voulons promouvoir avec les autres hôteliers du quartier. A plusieurs, on est plus forts et plus intelligents !