Var-Matin (Grand Toulon)

« Mon objectif est de dépasser les  

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Sous la direction de Denis Fétisson, la table de Mougins fait partie des nouvelles venues cette année avec un chef pornicais très très motivé !

Quelles raisons d’intégrer le cercle des « accueillan­ts » ? Depuis , je n’ai raté aucune édition et comme j’ai vu tous les copains le faire, cette année j’avais envie de relever le défi dans notre restaurant, épaulé par cinq grands chefs azuréens. L’objectif est de proposer quelque  couverts et de faire encore mieux que le Château la Bégude d’Opio qui avait récolté   pour la cause l’an dernier !

Quelles saveurs allez-vous mettre en avant le soir du  décembre ? Des noix de Saint-Jacques, un marbré de foie gras, du rouget barbet au potiron, un râble de lapereau porchetta et pour finir un dessert agrumes et chocolat. Sans parler des mises en bouche, mignardise­s et macarons qui encadreron­t tout cela !

L’Amandier, c’est aussi la table où tout a commencé pour Alain Ducasse… Oui, c’est là qu’il a eu sa première place de chef sous Roger Vergé. Personnell­ement, je ne jure que par Ducasse. Lorsqu’on m’a proposé la place à l’Amandier en , j’ai accepté sans hésiter. Depuis, je rêve qu’il se présente un jour à ma table ! C’est aussi une grande fierté d’appartenir à son label Châteaux et Hôtels Collection.

Comment se portent les grandes tables de la région en  ? À Mougins, nous n’avons jamais fait autant de couverts qu’en . Évidemment, certains chefs se plaignent, mais s’ils s’impliquent, que l’accueil et les bons produits sont là, alors le client reviendra ! En revanche, là où le bât blesse, c’est dans le recrutemen­t... Il est très compliqué d’avoir du personnel qualifié. Sur ce plan-là, il y a pas mal de choses à revoir...

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