Les points à améliorer aux Urgences et en secteur psychiatrie

L’accueil des urgences à Sainte-Musse et à La Seyne. Les experts-visiteurs ont relevé des problématiques relatives aux locaux dédiés à l’accueil des urgences sur les sites de Sainte-Musse et de La Seyne. « À Ste Musse, les locaux des urgences dédiés à l’accueil des patients qui arrivent couchés sont trop exigus en cas d’affluence, précise le rapport. Lorsque le flux est important, par exemple une dizaine d’arrivées concomitantes, le respect de l’intimité et la dignité du patient ne sont plus assurés : les brancards se retrouvant adossés les uns aux autres. La même situation, mais en moindre degré, est constatée aux urgences du site de La Seyne-sur-Mer en cas de présence simultanée de cinq brancards », rapportent-ils. « Nous avons des locaux inadaptés par rapport à l’augmentation de l’activité (moins de   passages aux urgences de Sainte-Musse entre janvier et juin, Ndlr). Depuis , elle est de  % par an. Le recours à l’hôpital public est de plus en plus marqué », précise la direction.

L’unité fermée de psychiatrie à La Seyne. « Ont été relevés des problèmes de locaux par rapport à l’intimité et aux droits des patients sur le site fermé de l’unité psychiatrique seynois », explique Jean-Marc Giangualano. « Les unités fermées disposent d’une seule salle de douche pour cinq chambres et d’un seul cabinet de toilette. Une chambre utilisée pour l’isolement dispose d’un WC et d’un lavabo positionnés en face de la fenêtre qui donne sur le jardin intérieur accessible aux patients hospitalisés dans le service », mentionne le rapport.