Montage de haut vol
Septembre :
Après une déclaration d’aliéner par adjudication judiciaire, la propriété est mise en vente aux enchères le septembre pour €. Elle est acquise par le groupe Quanim pour , M€. Une surenchère est déposée devant le tribunal de grande instance de Paris par la société Pierre Cardin, qui renchérit pour , M€. Cela relance une nouvelle procédure d’adjudication.
Décembre :
La commune de Saint-Mandrier saisit la préfecture du Var le décembre pour demander la création d’une zone d’aménagement différé, justifiée par plusieurs projets.
Février :
La préfecture crée cette zone d’aménagement différé par arrêté du février et désigne la commune de Saint-Mandrier comme titulaire du droit de préemption qui en découle.
Mars :
le mars, lors de la seconde adjudication, aucune surenchère n’est enregistrée.
Avril :
le maire, qui y a été autorisé par son conseil, signe une convention avec l’Établissement public de financement et de restructuration (EPFR) et lui délègue le droit de préemption (décision du avril). Le avril , l’établissement public foncier exerce le droit de préemption pour acquérir la propriété Fliche-Bergis pour un montant de , M€.